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Woofing : une nouvelle façon de travailler pour voyager à l’étranger à petit prix

Concept phare très en vogue depuis déjà plusieurs années, le woofing est une pratique novatrice pour voyager à l’étranger à petit prix.

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Le principe : financer son voyage en mettant à contribution sa force de travail. Vous êtes nourri et logé gratuitement à l’étranger contre de petites tâches au sein d’une exploitation agricole biologique. Le woofing (ou wwoofing) est donc une voie de tourisme alternatif et économique, permettant de parcourir le monde en réduisant vos frais de voyage.

Le principe du Woofing

S’adressant à tous, et plus volontiers aux jeunes qui ont du temps disponible et peu d’attaches, le principe du woofing est simple. Il s’agit de travailler au sein d’une ferme biologique en échange du gîte et du couvert. Le woofer a accès, en contrepartie de sa force de travail, à un hébergement et des repas sur une courte ou plus longue durée (quelques jours à quelques mois).

À l’origine réservé aux seules exploitations agricoles biologiques , le concept s’est plus récemment développé dans des gîtes ou hôtels, voire chez des particuliers (jardinage, bâtiment, babysitting…).

Le woofing est donc une sorte de troc, d’échange légal et proche du couchsurfing pouvant se réaliser partout dans le monde. Il s’agit en fait de bénévolat. Si le woofing est particulièrement adapté aux longs séjours loin de votre pays, vous pouvez tout à fait envisager un séjour en France sur une plus courte durée.

Hôtes et woofers : contreparties réciproques

Travailler dans une exploitation agricole biologique en woofing s’envisage comme un ensemble de missions définies à l’avance avec votre hôte. Les services demandés sont très variés, dépendant du type de ferme, de la zone de l’hôte et de la saison où vous partez.

Il peut ainsi s’agir de cueillette de récoltes, de plantations et de divers travaux des champs, mais aussi de bricolage, de cuisine ou encore de soin des animaux. En échange, votre hôte s’engage à vous laisser du temps libre pour découvrir sa région, à vous accueillir correctement et chaleureusement et à vous transmettre ses savoirs. L’avantage c’est que l’on retrouve le principe partout dans le monde de l’Europe à l’Asie, en passant par l’Amérique et l’Océanie.

Woofing : une solution de voyage économique 

Comme chacun sait, disposer d’un toit à l’étranger et se nourrir revient cher en principe, surtout sur une longue période. Or, c’est là l’un des principaux avantages du woofing : il vous permet de réaliser de très importantes économies sur le prix global du voyage. Vos seuls frais de séjour sont le billet d’avion et les frais de loisirs que vous pourrez exposer par ailleurs (tourisme, activité, etc.).

Woofing : un voyage formateur et en immersion totale

Outre les économies financières réalisées, le woofing vous permet de vivre votre séjour en immersion totale. Une sorte de tourisme alternatif puisque, lors de votre temps libre, vous vaquez aux occupations de votre choix. À vous, notamment, de définir vos circuits touristiques.

Vous pouvez ainsi apprendre plus facilement une langue, découvrir une région du monde inconnue, découvrir une nouvelle culture, mais également de vous former aux tâches agricoles. C’est d’ailleurs la raison d’être initial, du woofing, lequel se veut avant tout une occasion de transmettre au grand public le savoir-faire utilisé au sein d’une ferme biologique.

Comment procéder pour faire du woofing ?

Le terme initial « wwoofing » est un néologisme, formé à partir d’initiales d’une association née dans les années 1970 au Royaume-Uni et baptisée WWOOF : World-Wide Opportunities on Organic Farms.

Vous pouvez donc vous rendre sur le site internet de l’association WWOOF , choisir votre destination et devenir membre en achetant le guide qui référence toutes les fermes biologiques acceptant des woofers dans ce pays. Il ne vous reste qu’à contacter le ou les professionnels susceptibles de vous intéresser.

Bon à savoir : pensez à vérifier si un visa de travail est nécessaire dans le pays de destination, car, hors Union européenne, c’est bien souvent le cas.

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Wwoofing : avantages et rôles des voyageurs et hôtes pour un voyage alternatif

Vous cherchez une manière alternative de voyager tout en découvrant de nouvelles cultures et en apprenant de nouvelles compétences ? Le wwoofing pourrait bien être la solution qu’il vous faut. Dans cet article, nous allons vous expliquer en détail le rôle de chacun et les avantages.

Qu’est-ce que le woofing ?

Le Wwoofing est un concept de voyage alternatif qui permet aux voyageurs de travailler quelques heures par jour dans une exploitation agricole en échange de l’hébergement et de la nourriture gratuits. C’est une façon unique de découvrir un mode de vie différent. Mais aussi de rencontrer des gens locaux et de participer à des projets éco-responsables.

VOIR AUSSI : Les avantages de bien s’organiser avant un voyage

Le rôle du wwoofing pour les hôtes

Les hôtes sont des fermes ou des exploitations agricoles qui accueillent les touristes, appelés « woofers », dans le cadre du woofing. Ils s’engagent à nourrir et héberger les woofers et à leur apprendre les méthodes de travail de leur métier. Les hôtes ne sont pas des patrons. Ils des personnes ou des institutions qui souhaitent accueillir des touristes pour soutenir un tourisme plus responsable . Mais qui ont besoin d’une main-d’œuvre supplémentaire. Il n’y a pas de lien de subordination ou de hiérarchie entre l’hôte et le woofer. L’hôte n’a pas le droit d’exiger une rentabilité de la part des voyageurs. Mais il n’a pas non plus l’obligation d’offrir un traitement particulier aux woofers. Les woofers doivent s’adapter à la façon de vivre de l’hôte, que ce soit en termes de nourriture ou de qualité de l’hébergement

Le rôle du wwoofing pour les voyageurs

Le voyageur qui participe au woofing est celui qui travaille en échange d’un hébergement et de repas . Les plateformes de woofing mettent en relation les fermes ou les exploitations agricoles et les touristes. Généralement des personnes majeures de 18 ans et plus. Aucune compétence spécifique n’est requise pour devenir woofer. Cependant, les tâches effectuées sont manuelles et ne nécessitent pas d’expertise particulière, comme arracher les mauvaises herbes, garder le bétail ou labourer la terre. Après avoir travaillé à la ferme pendant un certain temps, le woofer peut être amené à effectuer des tâches plus complexes.

Toutefois, le travail des woofers est limité dans le temps pour qu’ils puissent profiter de leur voyage en visitant la région et en faisant du tourisme. En somme, le woofing est un moyen de voyager de manière responsable et de découvrir la vie à la ferme tout en travaillant. Mais aussi de vivre une expérience enrichissante.

VOIR AUSSI : Les avantages de voyager seul : Lâchez prise et partez à l’aventure

Quels sont les avantages du wwoofing ?

Le wwoofing est un échange de services entre voyageurs et hôtes qui permet de découvrir de nouveaux endroits, d’apprendre des compétences utiles, de rencontrer des gens intéressants, de bénéficier d’aide et de partager son expérience et sa culture. Cette alternative intéressante aux modes de voyage traditionnels permet de voyager à moindre coût et de soutenir les communautés rurales .

Les avantages du wwoofing pour le voyageur

Le wwoofing présente de nombreux avantages pour le voyageur . Tout d’abord, il offre une expérience de voyage unique et authentique , loin des sentiers battus du tourisme traditionnel. Le voyageur a l’opportunité de découvrir une culture et un mode de vie différent en vivant et en travaillant aux côtés des habitants locaux.

En outre, le wwoofing est une option de voyage peu coûteuse . En échange de quelques heures de travail par jour, le voyageur bénéficie d’un hébergement et de repas gratuits. Cela permet de réaliser des économies importantes sur les frais d’hébergement et de nourriture, qui peuvent être très élevés dans certaines régions du monde.

Le wwoofing offre également une opportunité pour le voyageur de développer de nouvelles compétences et de nouvelles capacités. Les tâches manuelles effectuées sur la ferme peuvent sembler simples. Mais elles peuvent également être très instructives et aider à développer des compétences utiles dans la vie de tous les jours. De plus, travailler en équipe avec d’autres woofers et les hôtes peut aider à renforcer les compétences en communication et en collaboration.

Enfin, le wwoofing permet au voyageur de rencontrer des gens du monde entier . Et ainsi se faire des amis de tous horizons. Travailler et vivre ensemble crée des liens forts et durables, ce qui peut conduire à des amitiés qui durent longtemps après la fin du voyage.

Les avantages du wwoofing pour l’hôte

Le wwoofing présente de nombreux avantages pour les hôtes qui accueillent des woofers chez eux. Tout d’abord, cela leur offre une source de main-d’œuvre supplémentaire pour les aider dans leur travail quotidien. Les woofers sont généralement des voyageurs qui cherchent à découvrir de nouvelles cultures et à participer activement à la vie locale. Ils sont prêts à travailler quelques heures par jour en échange d’un hébergement et de repas gratuits.

Les hôtes peuvent ainsi bénéficier d’une aide précieuse pour les travaux agricoles, l’entretien des bâtiments, la préparation des repas, la gestion des animaux, etc. Les woofers peuvent être assignés à différentes tâches en fonction de leurs compétences et de leurs intérêts. Ainsi aider les hôtes à maintenir leur exploitation en bon état de fonctionnement.

En plus de l’aide apportée dans leur travail, les hôtes ont également la possibilité de rencontrer des personnes du monde entier et de découvrir de nouvelles cultures . Les woofers viennent souvent de pays différents et peuvent offrir une perspective intéressante sur leur propre pays et leur culture. Cette interaction peut être très enrichissante pour les hôtes et les aider à élargir leurs horizons.

Enfin, en accueillant des woofers, les hôtes contribuent à promouvoir un tourisme plus responsable . Au lieu de rester dans un hôtel impersonnel ou de voyager en groupe avec un itinéraire prédéfini, les woofers cherchent à s’immerger dans la vie locale et à découvrir les coutumes et les traditions du pays qu’ils visitent. Le wwoofing offre ainsi une alternative au tourisme de masse qui peut être plus respectueuse de l’environnement et des populations locales.

En conclusion, le wwoofing est une alternative économique et responsable au tourisme traditionnel. Cette expérience est enrichissante pour les hôtes et les voyageurs , qui obtiennent de l’aide, de nouvelles rencontres, découvrent des cultures et compétences tout en explorant une région. Inscrivez-vous sur un site dédié pour commencer votre voyage de découverte.

Bonus Vidéo : Le wwoofing: La solution pour vivre à l’étranger gratuitement

Rédacteur web globe-trotteur passionné de voyage.

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• 13 septembre 2023

Voyager en woofing : aventure, avantages et budget

Dans la  quête intemporelle de l’aventure authentique , le  woofing  émerge comme une voie inédite. Le concept, méconnu pour beaucoup, s’inscrit dans le tissu même du voyage :  l’exploration des horizons inconnus . Cet article t’expliques ce qu’est le woofing en te révélant son apparition, ses bénéfices, ainsi que le budget nécessaire !

Le woofing : explications

Le woofing, né du désir de  fusionner le voyage  avec la  découverte culturelle  et  l’expérience pratique , s’articule autour d’une formule d’échange ingénieuse.  « World Wide Opportunities on Organic Farms » (WWOOF),  ou “Opportunités mondiales sur les fermes biologiques” en français – voici l’acronyme à l’origine de cette  aventure immersive . Au cœur du  woofing , un  contrat implicite  : des  heures de travail  en  échange  du  gîte et du couvert . Plongez-vous dans l’univers des fermes biologiques et des projets durables, et échangez votre énergie pour une immersion authentique.

Lire plus :  Voyager et faire carrière : impossible ? – Rencontre avec Olivier

Les avantages à voyager en woofing

Opter pour le woofing, c’est embrasser une  multitude d’avantages  qui transcendent les simples économies budgétaires :

Immersion culturelle :  À travers le woofing, chaque ferme devient un microcosme culturel où  vous plongez  dans les  coutumes , la  langue  et la  vie quotidienne  des habitants. Vous gagnez bien plus qu’un simple aperçu touristique.

Expérience pratique :  Le woofing, c’est  l’apprentissage par la pratique . Que vous plantiez des légumes ou construisiez des abris, chaque tâche offre une opportunité  d’acquérir  des  compétences  précieuses.

Rencontres significatives :  Dans les fermes, les liens se tissent naturellement. Vous  partagez  des  repas , des  anecdotes  et des  expériences  avec des individus qui croisent votre chemin. Ces rencontres façonnent votre perception du monde.

Budget abordable :  La magie du phénomène réside dans son  aspect économique . En échange de quelques heures de travail par jour, vous accédez à l’hébergement et aux repas, laissant vos ressources financières pour les expériences et les découvertes.

Le woofing : une promesse d’aventure

Le woofing, telle une porte dérobée vers l’inconnu, promet une aventure comme nulle autre pareille. C’est une opportunité de  troquer les sentiers touristiques battus  pour des  itinéraires moins parcourus.  Dans une ère où le  voyage  tend à  s’uniformiser , le woofing représente un appel à  l’exploration individuelle . Il vous propulse hors de votre zone de confort, vous pousse à rencontrer des  âmes semblables ou différentes et  à écouter des histoires qui façonnent des vies, vous permettant de créer la vôtre.

Lire plus :  Les tracances : entre vacances et travail ?

Le budget pour voyager en woofing

Le budget nécessaire pour une aventure en woofing est bien moindre que les alternatives classiques. En  échange d’un temps de travail  consacré à la ferme, vous  éliminez les coûts   d’hébergement  et de  restauration  de l’équation. Cependant, il est crucial de prévoir un  certain budget  pour les  déplacements , les  loisirs  et les  éventuelles dépenses  personnelles.

En pratique, les économies dépendent du  lieu , de la  durée  de votre séjour et de la  générosité de l’hôte . L’expérience varie, allant d’une ferme en pleine nature à une auberge rustique en bord de mer. Le mode de voyage vous permet de composer votre aventure en fonction de vos moyens.

L’aventure vous appelle

En résumé, le woofing, loin d’être une  simple  opportunité de voyage économique, incarne la promesse d’une aventure imprégnée d’authenticité. C’est une  invitation à l’immersion , à la découverte de soi, à la rencontre de cultures fascinantes et à la création de souvenirs uniques !

Lire plus :  Worldia lève 25 millions d’euros pour ses voyages sur mesure

• ACTU ÉCOLES 1142
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Wwoofing : découvrir le monde en travaillant

Déjà en vogue depuis quelques années, le wwoofing continue de séduire à travers le monde. Loin de l’expatriation classique, ce concept permet pourtant tout autant de vivre une expérience à l’étranger. On vous dit tout sur cette nouvelle manière de voyager, de rencontrer, d’apprendre et de partager.

En quoi ça consiste ?

Le réseau mondial World-Wide Opportunities on Organic Farms (Wwoof), “Opportunités mondiales dans des fermes bio”, a été créé au Royaume-Uni en 1971 . Le principe ? En tant que “wwoofer”, vous vous rendez dans une exploitation agricole biologique pour prêter main-forte en échange du gîte et du couvert.

Plantation, cueillette, soin aux animaux… : les tâches que vous pouvez être amené à réaliser sont aussi diverses et nombreuses qu’il existe d’hôtes différents. Mais elles visent toutes le même but  : offrir la possibilité au plus grand nombre d’acquérir des compétences en agriculture biologique, d’expérimenter la vie rurale et de partager le quotidien de son hôte.

Grâce à des organisations Wwoof nationales et à Wwoof Independents pour les pays qui n’ont pas d’antenne sur place, on peut faire du “wwoofing” dans plus de 130 pays, et l’on compte 12 000 hôtes et 100 000 wwoofers . Parmi les pays où le wwoofing est une habitude, on trouve l’Australie avec plus de 2 600 hôtes, la France avec plus de 2 300 hôtes, les États-Unis avec près de 1 500 ou encore la Nouvelle-Zélande avec près de 1 000.

En plus des économies que ce mode de voyage vous permet de réaliser, il vous permet d’entrer en immersion totale dans la culture et le mode de vie, et de rentrer avec un tas de nouvelles compétences !

Comment ça marche ?

• D’abord choisir le pays où vous voulez wwoofer : Chili, Canada ou Togo ? Une fois votre destination choisie, il faudra adhérer à l’organisation locale qui correspond (vous les trouverez toutes sur le site général www.wwoof.net ), ou à Wwoof Independents pour les pays qui n’ont pas d’antenne nationale. Cette adhésion a un coût qui varie selon le pays : 25 euros pour l’Irlande, ou encore 40 dollars pour les États-Unis . Une fois adhérent, vous recevrez la liste des hôtes disponibles dans le pays en question.
• Choisir son hôte : particulier ou exploitation professionnelle, maraîcher ou producteur de fromage, trouvez l’hôte qui correspond à vos attentes. Une fois choisi, il faudra le contacter pour vous présenter et expliquer pourquoi son activité vous intéresse, au moins un mois avant votre départ selon l’association . Et vous pouvez le faire quels que soient votre CV, vos connaissances en agriculture biologique ou votre nationalité !
• Planifier le séjour : s’il est aussi intéressé, il faudra alors vérifier ensemble vos disponibilités pour convenir des dates du wwoofing et des modalités. En effet, si le rythme est généralement de cinq heures de participation aux activités par jour avec deux jours de libre dans la semaine pour visiter la région, chaque hôte est libre d’adapter son rythme, dans le respect de la charte du Wwoof bien sûr. Il vous dira également si vous disposez d’une chambre ou s’il faudra apporter votre tente, si les repas sont partagés ou si vous aurez votre propre coin cuisine…
• Ne pas oublier : pensez à souscrire à une assurance internationale en cas de pépin. Aussi, c’est à vous de faire les démarches pour un éventuel visa : informez-vous avant de vous lancer. Enfin, pensez à emporter des vêtements adaptés au travail et au climat local, et surtout votre curiosité et ouverture d’esprit !

Si le wwoofing est une belle expérience dans la majorité des cas, il peut arriver de tomber sur un hôte qui ne respecte pas la charte, qui vous demande trop de travail ou qui a un comportement problématique. Dans ce cas, vous êtes libre de partir, et il est important d’en informer l’association pour éviter que ce genre de problème ne se reproduise.

Léane Burtier

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Faire son tour du monde grâce au Wwoofing

• 🗓️ 4 septembre 2018 | Édité le 31 janvier 2023
• Par Florian Martinet nombre de vues 2.3K
• 💬 5 commentaires

Un tour du monde coûte en général assez cher (~ 15000 €), c’est une grosse somme à récolter. Si tu n’as pas le temps pour économiser autant d’argent, il te reste toujours la solution du Wwoofing !

Pour ceux qui ne connaissent pas, le Wwoofing, de l’acronyme WWOOF, de World Wide Opportunities on Organic Farms, est le fait d’être nourri et logé en échange d’une participation aux travaux dans le monde agricole bio.

Je rassure les plus fainéants d’entre vous, le but n’est pas de faire du 60h par semaine dans des conditions exécrables. Pour une moyenne de 5h par jour (à définir au préalable), vous aidez la famille vous hébergeant dans ses tâches agricoles.

Le type de tâches est très variable : Tailler le buisson à Mireille, nourrir les animaux, récolter les carottes, couper du bois, cueillir des pêches, etc…

La durée des missions peut être de quelques jours à plusieurs semaines , c’est à vous de négocier cela avec votre hôte.

Les inconvénients du Wwoofing

• Le temps passé à aider l’habitant est du temps que tu ne passeras pas à visiter, te divertir (et encore…) ou échanger avec de nouvelles personnes sur ton lieu de visite.
• Le pourcentage faible de tomber sur une famille complètement timbrée ou ne respectant pas tes droits du « Wwoofeur ».
• Les contraintes et règles à respecter dans la famille d’accueil peuvent être frustrantes pour certains voyageurs en quête de liberté !

Et les avantages du Wwoofing ?

• La voilà, l’aventure, la vraie ! Sortir des sentiers battus pour s’enrichir d’un nouvel endroit , de nouvelles rencontres , de nouvelles connaissances , de quoi être fier de soi durant de nombreuses années 😉
• Énormément de voyageurs souhaitent rentrer en contact avec les habitants afin de vivre une experience unique , loin de ce qu’ils ont l’habitude de connaître. Cependant, la langue parlée dans le pays, la timidité du voyageur ou encore la non-connaissance de la région peuvent être un véritable frein à la rencontre. Le Wwoofing vous permet de faciliter la mise en relation avec l’habitant et ça, c’est juste génial !
• Toi comme moi, t’es plus superette que cueillette à la base, t’arrives après la bataille en sorte. Mais est ce qu’il ne serait pas intéressant d’en connaître un peu plus sur le processus «  de la ferme à nos assiettes  » ? Le Wwoofing est l’occasion d’en apprendre énormément sur les techniques utilisées dans le monde agricole et de pouvoir enfin te la péter auprès de ta grand-mère, la classe !
• Tu pratiques du sport ! Ah t’y avais pas pensé à celui là 😉 ! Parce que oui, en général, tu effectues des tâches actives où ton corps fournit un effort qui peut parfois être conséquent.
• Tes finances sont utilisées seulement pour le transport, les divertissements et activités diverses durant tes jours de repos.

Je peux faire du Wwoofing de partout ou ça se limite au Poitou-Charentes ?

Houlà tu vas t’attirer des problèmes toi.. À vrai dire, tu as plus de 120 pays où le woofing est en place donc tu as l’embarras du choix !

Wahou ! Cela semble une superbe façon de voyager ! Quelles sont les démarches pour s’inscrire ?

N’est-ce pas !? En premier lieu, rendez-vous sur le site de l’organisation où sont listées les différentes étapes.

Les infos utiles sur le Wwoofing

• L’inscription peut aller de 0 à 56€ en fonction du pays où vous souhaitez vous rendre.
• Vous pouvez faire ça seul ou à plusieurs à partir du moment où chaque personne est inscrite à l’organisation WWOOF (lien partagé juste au-dessus).
• C’est à vous de vous renseigner sur la nécessité et le type de VISA à prendre pour le pays concerné.
• Si un hôte te demande de l’argent, tu peux mettre en pratique tes 10 ans de judo, mais je déconseille bien entendu la violence ! Donc je te conseille plutôt de contacter les administrateurs de l’organisation et de trouver une autre ferme. Si cela se passe dans un pays assez démuni et que l’hôte a su toucher ton côté sensible, tu peux toujours l’aider avec l’achat de nourriture, de vêtements, livres ou autres, libre à toi.
• N’hésite pas à te renseigner sur les sites communautaires notamment, chercher les avis concernant telle ou telle ferme, c’est toujours rassurant et gage de confiance pour la suite des évènements. Idem, suite à ta session woofing, n’hésite pas à laisser un avis pour les prochains voyageurs qui seront contents d’être informés au mieux !

Pour se préparer d’avantages à faire un tour du monde, n’hésitez pas à suivre étapes par étapes notre guide pour préparer votre tour du monde !

Je prépare et organise mon voyage en tour du monde !

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Bonjour, Nous sommes une famille de 5, on a le projet de voyager autour du monde dans 2 ans et on voudrait faire une partie du voyage en wwoofing pour être au plus proche des gens et ne nous voilons pas la face, un peu aussi pour diminuer le budget!!!Nos enfants auront alors 14 ans, 11 ans et 8 ans… Est-ce possible de faire du wwofing avec des enfants et quels sont les modalités??? Merci pour votre réponse, je sais que les enfants n’ont pas le droit de travailler, normal, mais est ce qu’ils peuvent être héberger et nourris avec nous si on est que 2 à travailler??? J’ai pris contact avec wwoof France mais ils ne savent pas trop… Merci d’avance si vous pouvez me renseigner!!! Kareen.

Bonjour Kareen,

Le wwoofing en famille est tout à fait possible. Les modalités sont propres à chaque hôte, il faut donc les questionner en entamant un dialogue afin de savoir si cela est possible et dans quelles conditions. Les enfants peuvent être nourris et hébergés, même si vous êtes que 2 travailleurs.

De nombreuses familles l’ont déjà fait, pourquoi pas vous 🙂

Merci pour votre réponse, je prendrai contact avec les hôtes quand nous serons sûrs de notre itinéraire.. Kareen

Bonjour, nous pensons aussi à faire un projet woofing, je cherche des adresses sympas avec les enfants. Avez-vous déjà trouvé des contacts avec retours d’expériences? Peut-être pouvons-nous collecter des infos ensemble.

Bonjour, Je n’ai pas encore collecté d’info car notre départ est prévu dans plus d’un an et l’inscription pour chaque pays est valable seulement un an pour avoir les listes des hôtes…et comme on veut faire ça dans beaucoup de pays je ne veux pas payer pour 2 ans car mis bout à bout ça fait une somme même si biensur à la fin du voyage ça nous aura fait faire des économies… Je pense commencer mes recherches après l’été 2018…

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Le Woofing : une opportunité de voyager économique et immersive

Le Woofing, une expérience pour voyager unique en son genre ! Si vous cherchez une façon économique, immersive et enrichissante de découvrir de nouveaux endroits, le Woofing est fait pour vous . Imaginez pouvoir travailler sur une ferme biologique en échange d’un hébergement gratuit. Où apprendre à cuisiner des plats traditionnels tout en découvrant leur culture et leur mode de vie. Le Woofing offre une opportunité de voyage exceptionnelle , qui vous permettra de vivre des expériences inoubliables. Tout en développant de nouvelles compétences et en contribuant au développement des communautés locales. Dans cet article, vous apprendrez tout ce que vous devez savoir sur le Woofing : comment vous préparer, et les avantages que vous pourrez en retirer. Préparez-vous à vivre une aventure inoubliable !

Qu’est-ce que le Woofing ?

Le Woofing est une pratique de plus en plus populaire parmi les voyageurs du monde entier. Mais qu’est-ce que c’est exactement ? Le Woofing est un échange de travail entre les voyageurs et les hôtes qui les accueillent. Les Woofers offrent quelques heures de travail par jour en échange d’un hébergement et souvent même de repas gratuits .

Les origines du Woofing en Angleterre

L’origine du Woofing remonte aux années 1970 en Angleterre , avec la création de l’association «  Willing Workers on Organic Farms « . Depuis, la pratique s’est répandue dans le monde entier et a évolué. Aujourd’hui ça englobe toutes sortes de travaux, pas seulement liés à l’agriculture.

Le fonctionnement du Woofing aujourd’hui

Le fonctionnement du Woofing varie en fonction des pays et des hôtes. Certains proposent des missions très encadrées avec un emploi du temps précis. Tandis que d’autres laissent aux Woofers une plus grande liberté dans leur emploi du temps. Les tâches confiées aux Woofers varient également beaucoup : allant de la cueillette de fruits et légumes à l’entretien de jardins en passant par la fabrication de fromages ou la construction de maisons écologiques.

La meilleure façon de voyager, c’est grâce au Woofing

Le Woofing est une option intéressante pour les voyageurs à la recherche d’une expérience unique et authentique. En échange de leur travail, les Woofers peuvent découvrir des endroits méconnus des touristes. Rencontrer des personnes locales, et apprendre de nouvelles compétences. Par exemple, un Woofing en Nouvelle-Zélande peut permettre de découvrir la culture Maorie. Tandis qu’un Woofing en Thaïlande peut offrir une initiation à la cuisine locale.

Après avoir fait plusieurs missions de Woofing à travers le monde ces dernières années, je peux vous dire que j’en suis tomber amoureux. Pouvoir voyager pour très peu d’argent, tout en ayant une expérience plus authentique, c’est une opportunité extraordinaire. D’ailleurs ça fait partit de mon E-Book 100% gratuit : Comment voyager presque sans argent .

Je pense que le Woofing est une pratique qui permet de voyager autrement. De manière plus authentique et économique , tout en contribuant à des projets locaux et en rencontrant des personnes locales. Si vous cherchez à sortir des sentiers battus lors de votre prochain voyage, le Woofing est une option à considérer !

Woofing, une immersion culturelle

Le Woofing n’est pas seulement une option économique pour voyager, c’est aussi une opportunité unique pour une immersion culturelle totale . Pendant mon Woofing à Hawaii, j’ai eu la chance d’apprendre l’agriculture aquaponic. De découvrir les traditions Hawaïennes, et même de découvrir d’autres agriculteurs vegans locaux.

Le Woofing permet aux voyageurs de découvrir les coutumes locales de manière immersive. En vivant et en travaillant avec des familles ou des communautés locales. Pendant mon Woofing en Norvège , j’ai appris la cuisine traditionnelle norvégienne et son fameux saumon. Je me suis également imprégné de la culture norvégienne en découvrant la musique, les techniques de randonnées et les astuces du pays.

En plus de découvrir la culture locale, le Woofing permet également d’apprendre une nouvelle langue. Et bien sûr, c’est une opportunité pour acquérir de nouvelles compétences qui peuvent être utiles. Non seulement pendant le voyage, mais aussi dans ma vie quotidienne.

Pour moi, le Woofing offre une immersion culturelle totale. Une occasion d’apprendre une nouvelle langue et de nouvelles compétences, tout en étant une option vraiment économique pour voyager.

Le Woofing, une option pas chère pour les voyageurs

L’une des principales raisons pour lesquelles j’adore le Woofing, c’est que c’est une option de voyage économique. Pour les voyageurs qui ont un budget limité, le Woofing offre une opportunité incroyable de découvrir de nouveaux endroits sans se ruiner. En effet, au lieu de payer pour un hébergement et des repas coûteux, vous pouvez proposer vos services. En échange d’un logement et parfois même de repas gratuits. Pour faire gros, vous pouvez économiser beaucoup d’argent. Tout en voyageant dans des endroits que vous n’auriez peut-être pas pu vous permettre autrement.

Bien se préparer pour un woofing

Cependant, il est important de se préparer correctement pour un voyage en Woofing. Il est essentiel de bien comprendre les attentes de l’hôte. Mais aussi de savoir exactement quelles tâches vous serez amené à réaliser. Il est également important de s’assurer que les horaires et les dates conviennent à vos projets de voyage. Enfin, il est conseillé de bien s’équiper pour le voyage , en ayant notamment un sac à dos confortable, des chaussures de randonnée et des vêtements adaptés à la météo et aux tâches que vous devrez réaliser.

En plus de l’aspect économique, le Woofing offre également une expérience unique d’immersion culturelle pas chère. En tant que Woofer, j’ai eu la chance de découvrir des traditions et des coutumes locales que je n’aurais pas pu découvrir autrement. Même si j’avais dépensé beaucoup d’argent. J’ai également pu pratiquer une nouvelle langue et découvrir de nouvelles saveurs culinaires. C’est une expérience incroyablement enrichissante qui permet de sortir de sa zone de confort et de se plonger dans une culture étrangère.

Le Woofing permet également aux voyageurs d’acquérir de nouvelles compétences . En fonction de l’hôte et des tâches proposées, vous pourriez apprendre des compétences pratiques. Telle que la menuiserie, la cuisine, la culture de légumes ou la construction. Ça peut être très utile pour les voyageurs qui cherchent à améliorer leur CV. Ou tout simplement à acquérir de nouvelles compétences pour leur carrière future. Et je le rappelle encore une fois : tout ça sans dépenser aucun argent !

Les avantages du Woofing pour les hôtes et les communautés locales

J vais vous expliquer les avantages du Woofing pour les hôtes et les communautés locales . Le Woofing ne profite pas uniquement aux voyageurs. Mais il peut aussi être bénéfique pour les personnes qui accueillent les Woofers. Ainsi que pour les communautés locales dans lesquelles ils séjournent.

Avantages pour les hôtes

Pour les hôtes , le Woofing peut être une façon de rencontrer des personnes de différentes cultures et d’apprendre de nouvelles choses. Les Woofers apportent souvent des compétences et des connaissances utiles, ce qui peut être bénéfique pour les projets en cours. C’est aussi et bien sûr de la main d’œuvre qui peut être qualifié, pour pas cher. En outre, l’accueil des Woofers peut contribuer à la création d’un réseau de contacts utiles. Ainsi qu’à l’ouverture d’opportunités pour les hôtes.

Avantages pour les communautés locales

En ce qui concerne les communautés locales , le Woofing peut avoir des retombées positives sur l’économie locale . En effet, les Woofers ont besoin de se nourrir, peuvent sortir, boire, faire des restaurants et activités. Tout ça peut profiter aux commerçants et aux restaurateurs locaux. Mais aussi, le Woofing permet aux Woofers de découvrir la culture locale et de partager des connaissances et des expériences avec les habitants. Ce qui peut contribuer à renforcer les liens sociaux et culturels.

Le Woofing est une pratique bénéfique pour toutes les parties impliquées. Les Woofers peuvent découvrir de nouveaux endroits de manière économique et immersive, tandis que les hôtes et les communautés locales peuvent en tirer des avantages sociaux et économiques.

Apprendre de nouvelles compétences et voyager en Woofing

L’un des principaux avantages du Woofing est la possibilité pour les voyageurs de développer de nouvelles compétences . En fonction des tâches qui leur sont confiées, les Woofers peuvent acquérir des compétences pratiques dans différents domaines. Tels que l’agriculture, l’horticulture, la menuiserie, la cuisine, la construction, etc.

Par exemple, lors de mon séjour à Hawaii, j’ai travaillé dans une ferme biologique où j’ai appris à cultiver des légumes et des fruits. À entretenir un des plants, à préparer le compost et à fabriquer des produits naturels. J’ai également eu l’occasion de travailler avec du matériel agricole que je ne connaissais pas auparavant. Et à me familiariser avec les horribles bestioles à milles-pattes locales.

J’ai travaillé dans un camping en Norvège où j’ai appris à utiliser des outils de menuiserie et à faire de la peinture. Ce qui m’a resservi plus tard lors de mes différents aménagements dans mes logements.

Clairement, le Woofing est une excellente opportunité de voyager et de découvrir de nouvelles compétences et de les mettre en pratique dans un contexte réel . C’est très enrichissant sur le plan personnel et professionnel. Et peut même ouvrir de nouvelles perspectives de carrière.

En conclusion, j’aime le Woofing pour voyager

En conclusion, le Woofing est une pratique de voyage unique en son genre. Qui permet aux voyageurs d’explorer le monde de manière immersive. Tout en contribuant à des projets locaux et en développant de nouvelles compétences. En échange de quelques heures de travail par jour, les Woofers peuvent bénéficier d’un hébergement gratuit, d’une nourriture locale délicieuse et d’une expérience culturelle inoubliable.

Et il ne faut pas oublier que ça offre également de nombreux avantages pour les hôtes et les communautés locales. En créant des liens sociaux et en contribuant au développement économique et social. Que ce soit pour apprendre une nouvelle langue, découvrir une culture locale, se connecter avec d’autres voyageurs ou tout simplement pour voyager à petit budget, le Woofing est une expérience unique et enrichissante qui mérite d’être vécue.

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Article mis à jours le 27 février 2023 par Pierre Bouyer

Pierre Bouyer

Directeur Artistique, mais aussi photographe, entrepreneur et blogueur basé à New York. Âme Bohème fut fondée en 2016 lors de mes premières aventures à l’étranger. L’appareil photo à la main, j’explore et découvre le monde pour vous partager mes expériences et mes conseils. Fort de mes années de voyage, vous retrouverez ici toutes sortes de destinations. Que vous recherchiez mes conseils d'initiés, des informations pratiques ou des recommandations sur les meilleures choses à voir et à faire, ce blog est fait pour vous. Je mets l’accent sur les informations utiles et accessibles qui répondent à tous les budgets et préférences. L'objectif est de vous aider à planifier un voyage adapté à vos besoins.

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Margot France

I spent a month and a half with my partner in Lakeview and everything I have to say about it is positive, it was hard to leave from this amazing place, this experience will stay with us for the rest of our life. Daphné and Jonathan are lovely and endearing people who love to pass on their knowledge and share their experiences. They have taken the time to work with us regularly and to share certain meals, so there's a real exchange. The location is also really great - the garden, the lake, the farm - it's all very authentic and rejuvenating. The accommodation for wwoofers is comfortable and makes you feel at home. We're already nostalgic for all the great times we had at Lakeview Farm. Thank you again for everything. If you want to experience an authentic, beautiful and rich Irish adventure, I can only advise you to go to Lakeview!

Aili Royaume-Uni

William and Emily's estate is a beautiful and historic place. I was particularly interested in the woods, which are lovely to explore. Alfie and Oli, who host the Wwoofers at the farmhouse, are amazing people. I felt so at home at the farmhouse, and we all had lots of fun together as a group. William and Emily were kind enough to drive me to the bus stop on several occasions so that I could explore more of Ireland, and the transport links to places such as the Wicklow Mountains, Kilkenny, Dublin, etc. were all very good.

Jeanne France

I spent 2 weeks with Bridget and it was a great experience. Bridget is very welcoming and a pleasure to talk to. The work was varied and adapted to the weather. It's a very beautiful and soothing place, where you can recharge your batteries, especially over a cup of tea.

Wayne Bruno Juliano États-Unis

A real farm- beautiful and historic. A view of the land and ocean from the kitchen table. It was peaceful and satisfying where I met good people who were very kind. I was able to make stone steps- it was an honor.

Isana États-Unis

Helen was my first host for WOOFing. She was so welcoming and the whole experience was so fun! We worked outside on her garden doing different tasks. Each day was amazing, there was never a dull moment. It wasn’t all about working outside, she took me in town and showed me around. Her and her sister are amazing people.

Madeline France

My two-month stay at Jan and Karen's farm in Ireland was simply incredible. From the moment I arrived, I was warmly welcomed and treated like a member of the family. Jan and Karen are lovely people who genuinely care about the well-being of their guests. The room I was provided with was comfortable and inviting, with a private bathroom, offering much-appreciated privacy. The farm itself is a haven of peace where one can fully recharge, far from the hustle and bustle of everyday life. Spending time on the farm allowed me to discover a new way of life, in harmony with nature and the seasonal cycles. The activities offered on the farm also allowed me to immerse myself fully in this authentic experience. I highly recommend a stay at Jan and Karen's farm to anyone looking for a peaceful and enriching getaway in Ireland. You will undoubtedly be greeted with kindness and hospitality, and you will leave with unforgettable memories of this unique experience.

Annette Louise États-Unis

Paidi and Fanny created a very welcoming environment which motivated me to work hard, learn about farming practices, tree grafting, and apple cider processing, Being immersed in their daily routines was an invaluable gift and insight into the Irish culture and music. The 2 children were so kind, respectful, sweet and loved to perform their music and dance and include me in adventures with their faithful, fun companion, Jacquie dog. I will always cherish the memories of mealtime with the family, their patience explaining tasks, going to the pub to listen to Fanny play amazing Traditional Irish fiddle, and most of all the conversations that we shared and the many light-hearted laughter. I felt embraced and appreciated and sincerely thank them for all the great considerations and kindnesses!! Please come visit so that I may in turn, take you into my home and heart, as you did me. Thank you!!!

Yu-Ching Taïwan

Des is a really nice person. The time in his place was lovely and peaceful. The view from his backyard was stunning. Des always took good care of me and answered my various questions with patience. I learned a lot from him. These days I will never forget.

Lucía Allemagne

I had a beautiful time at Seamus and Denise’s home, i felt so welcomed by them and their little kids. I hope to go back again, loved Westport, 100% recommended, the view is amazing!

Justine France

My experience in the farm was really good and James is a lovely person!! He’s funny and you can learn a lot with him, I wish I could have spent more time with him. Because he can by very busy. The little house we live in is quite simple and rustic (you mustn’t be a princess lol), and in winter it's essential to have a good fire all day long (what I've learned from James). All the animals are adorable and very kind, you will love them for sure ! I'll never forget that experience, in that beautiful farmhouse lost in the Irish countryside. I was able to meet some incredible people. So thanks again James

Thank you again and again and again Shaun and Chrissie for having us with you. We spent five wonderful weeks, from (late) morning to evening haha. We really felt at ease from the first time we met you and shared a lot of laughs and funny moments together ! You are both very kind and funny. We have been living so comfortably and eating so well and so much. Chrissie, it was so much fun to cook with you, you are the best chef. We were happy to discover new recipes that we will definitely make at home soon, and to cook and share Georgian and French food together. Ardess is a beautiful place and it has been a pleasure to help you. During our stay, we cut and split some wood, we weeded the beds, we powerwashed the stone floors, we tidied up some rooms, cleaned the greenhouse… Lots of various jobs ! We really enjoyed working with you two from time to time. It was great to exchange messages the weeks before our arrival. Thank you for checking on us this way, Shaun. We were deeply touched by the attention you showed us ! We loved hiking together in fantastic places and celebrating Giorgi’s birthdayS with you. We leave with beautiful memories in mind that will continue to make us smile and incredible pictures of our stay to make sure we do not forget the essentials 🙂 Good luck for your work, Shaun, and for your tennis tournament, Chrissie. Lots of love to the dogs. Take care and have fun with your future wwoofers ! See you soon somewhere in France or Northern Ireland :) We miss you!

Elliot États-Unis

Hey there! I enjoyed my stay at Jasper’s Place - being in the fields of rural Ireland are really special memories. I felt James (Jasper) was very attentive and responded quickly to any needs of myself and the other volunteers.

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5 Helpful Questions to Ask a Host 

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Harvesting Memories: A Season of Adventure at Ronnigers Organics

Meet the 2024 Future Farmers

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Betty États-Unis

Incredibly wonderful family farm. Agustin showed me everything he was doing and was clearly happy with my work. Virginia was knowledgeable and engaging with lots of smiles exchanged for the six weeks I Woofed on their farm. I plan to go back to this farm and spend time here again.

Isadora États-Unis

Working here was an incredible educational experience, both in terms of learning acro-ecological theory and in putting it to practice! Arielle, Fernando, Sergio, and everyone else at the farm are wonderful educators and people who clearly care so deeply about the farm's mission of sustainability and the community as a whole. The farm and surrounding areas are beautiful and are a blast to explore! Definitely recommend working here if you get the chance to.

Tiger États-Unis

I spent 2 months working at ancient valley growers. During that time I learned the hard work farmers do every day to feed our community, I changed my opinions on many topics and had interesting conversations with my fellow woofers along with Matt and Andy. Some other woofers had trouble with keeping the shared spaces clean which caused tension so make sure you are tidy and clean up in a timely manner. The work is hard but fun. Don’t be afraid to get dirty!

Emma États-Unis

Great farm! Jerry and Jennifer were wonderful, helpful hosts who were perfect for a first time wwoofer like myself or those with more farming experience! Can't recommend enough, it was a great family environment and I would love to return! I'm grateful for all their hospitality and teaching, it was difficult to leave!

Rachel États-Unis

I spent 10 great days with Genie and Glenn; they are welcoming and communicative hosts! The work was fair and fun; typically worked with the goats and in the garden (weeding, planting, composting) from 8-10, breakfast break 10-11, another project 11-2, then a delicious lunch altogether. I was delighted to be there for the birth of four goat kids! The barn apartment had everything I needed. I was able to get uber/lyfts from the farm, as it is only 10-15min from town, even though it feels like being on the countryside.

Peyton États-Unis

Pat was very kind and responsive! I didn't end up staying at the farm for personal reasons but I enjoyed talking with her.

Dan États-Unis

Caleb and Amy have an organized well thought out homestead. I liked how we had all 3 meals together for a chance to get to know each other and learn from them. They exposed me to new foods that I enjoyed having aswell! They both freely shared all their knowledge and experiences with me regarding homesteading. I learned basic animal management with electric fencing. I learned how to make a stone patio, how to wire outlets, and some woodworking. They also shared with me about how their solar system and rainwater system work. It was also cool to see their 3 boys help on the homestead and all the skills they have already developed. I was only here two weeks but learned a lot!

Davis États-Unis

William and Sharon were such incredible host! My work included building drainage ditches, planting in the garden, chopping lots of wood, helping take care if chickens and goats and many other small projects. They're home in beautiful and hand-built by William. They also have a beautiful HipCamp Cabin that was fun to spend some free time in. When I wasn't working I spent time walking around their 110 acres on land and working in a cutting board. This was my first WWOOF experience it could not have gone better. Highly recommend spending some time here!

Katie Canada

Amazing! What a great first Wwoofing experience! Cheri and Tim were so awesome, so welcoming and super laid back. We spent the week helping out with a lot of stuff that was a priority for Cheri, and we also took the initiative to do some other projects that we were interested to do. Cheri was great with my two girls and helped them do some things that they were interested in doing. We also got to spend a lot of time with her mule “Glorious” Gloria. My youngest and I rode her almost everyday which was wonderful! We learned a bunch about beekeeping and helped with the bees, which was super cool. We also shared lunches and dinners together and Cheri is a great cook! Cheri and Tim made us feel right at home and We are sad to go and would definitely come back! We will miss you guys!

Anna États-Unis

This was my first WWOOF experience and it was really wonderful! Everyone at the farm was very warm and welcoming, always offering to explain something if I had a question or show me the ropes of a task that was new to me. Since I was there in spring, I was able to help with lots of seeding, bed prep, planting, and harvesting the yummy vegetables that had grown through the winter. William and Gerrit were always happy to teach me anything I wanted to learn - from mushroom inoculation and microgreen harvesting to egg collection and chicken coop cleanup. I also got to go to market with Angela and William, which I really enjoyed. There's a wide array of things going on at the farm, so I think there's something for everyone. To everyone at the farm (people and animals included) - thank you so much for being such a welcoming and kind community! I enjoyed spending time with you all and wish you luck in the season ahead :) Hope to see you again soon!

Isabel États-Unis

This was a lovely place to WWOOF! I spent 5 days there, and learned about Suzan's orchard and her native grass restoration efforts. The hosts are warm generous people, with a lot of wisdom to share. The expectations for work are very reasonable. The meals are filling and delicious, and the accommodations are excellent. I wholly recommend this as a wonderful WWOOF spot.

Susie (Susan) États-Unis

I highly recommend this place! Skyla is so gracious and hospitable, on top of being extremely knowledgable about sustainable living. I stayed only for a few days but came away feeling like I learned so much. Projects I worked on with Skyla included fence building, putting up a chicken run, building an outdoor brick oven, collecting creek rocks for cob house drainage, and a partial flooring install. Sam even showed me some of his fermentation projects. Big added bonus is the meals they provided were SO GOOD. Sam's chili will never be forgotten. If you are interested in sustainable, off grid living, with an emphasis on maintaining ecologically diverse land, then this is a great place to wwoof. Guaranteed you will learn so much!

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Découvrir la navigation en voilier à travers le wwoofing

• 20 mai 2015
• Nouvelle Zélande
• 0 commentaire

Carnets de wwoofing dans le nord de la Nouvelle Zélande

[ EDIT ] Cela fait bien longtemps que nous n’avons rien posté sur le blog. Cependant, nos déambulations n’ont pas vraiment cessé ces douze dernières années. Et en Septembre 2022, c’était la sortie de notre livre Wwoofing et voyages alternatifs ! Un ouvrage dédié à celles et ceux qui souhaitent vivre des aventures hors des sentiers battus, riches de rencontres et d’entraide. Nous y racontons une partie de nos expériences mais c’était impossible de tout y mettre, contrairement à un blog où la place est presque illimitée ! Alors voici le récit de quelques bouts de vie en Nouvelle Zélande, à l’époque où nous cherchions à voguer sur les flots, entre 2014 et 2015. [ EDIT ]

Depuis notre premier PVT en Australie, l’idée de partir à l’aventure sur un voilier était dans un coin de notre tête. Quatre ans plus tard, en Nouvelle Zélande, nous sommes amenés à tenter pour la première fois l’expérience, totalement par hasard, aux côtés d’un de nos hôtes adorés, surnommé papi Keith, qui nous accueille pendant quelques mois.

La belle vie dans les environs d’Auckland

Depuis plus de 40 ans, Keith vit dans une communauté qu’il a participé à fonder, constituée de plusieurs maisons, d’une école alternative, d’un potager et d’un atelier communautaires. Dans le verger poussent des citronniers, des orangers, des noyers, des figuiers, des goyaviers ainsi qu’un immense plaqueminier. Nous y découvrons le feijoa, un fruit très prisé par les néo-zélandais, et préparons toutes sortes de confitures à base de ce précieux petit œuf vert. Nous aidons au jardin avec l’entretien du potager, la taille des arbres et le broyage du bois, ainsi qu’à la maintenance de la maison et le tri du garage de Keith. où nous dénichons avec surprise une réserve de miel, oubliée dans un coin, dont les cristaux énormes feraient saliver n’importe qui.

Nous logeons dans une petite habitation séparée de la maison principale, qui servait à entreposer le miel à une autre époque. La pièce est munie d’un lit et d’un bureau. Il y règne une douce atmosphère bercée par la lumière qui traverse les vitraux colorés. Une plante grimpante et des rosiers recouvrent le toit, si bien qu’on a l’impression de vivre dans une cabane au milieu d’un bosquet. La maison de Keith est dotée d’une grande terrasse en bois, entourée de verdure et surplombée d’une gigantesque vigne dont la taille fut notre toute première mission.

Keith est l’exemple parfait d’un hôte ouvert sur l’échange et pas un seul soir nous manquons de partager des discussions captivantes, en compagnie d’un verre de rouge. Très intéressé par les low techs, il nous parle souvent de ses divers projets tout en nous faisant l’honneur de cuisiner sa spécialité : des énormes pizzas agrémentées de légumes du jardin. À 72 ans, Keith prend tout juste sa retraite après une carrière d’avocat à défendre les familles en difficulté dans la crise du logement. Il nous raconte avec malice le plaisir qu’il prenait à voir l’expression sur le visage de ses confrères lorsqu’il venait au tribunal en short, s’affranchissant gaiement du traditionnel attirail costard-cravate. Un vrai hippie dans l’âme.

Nous profitons de la proximité avec la ville d’ Auckland pour aller voir des concerts et visiter les environs, dont la côte de Muriwai où une colonie de foux austraux niche sur les falaises. C’est aussi l’opportunité pour Jérémie de travailler, dans le spectacle vivant et l’événementiel. Keith est très arrangeant et les jours où Jérémie n’est pas disponible, Claire travaille un peu plus au jardin.

À plusieurs reprises, Keith nous embarque sur son voilier dans le golfe de Hauraki. Nous l’aidons à réparer le système électrique de sa batterie et à écoper l’eau qui s’infiltre dans la cale du moteur. Nous hissons les voiles et dirigeons le gouvernail pour la première fois et prenons goût à ces escapades salées complimentées d’une vue imprenable sur le volcan Rangitoto. Tous les jeudis, Keith nous invite à manger au yacht club (capitainerie) et nous continuons doucement de nous imaginer un jour prendre le large.

À la poursuite d’un rêve et d’apprentissages

Quelques mois plus tard, après plus d’un an dans le pays, nous commençons à nourrir plus sérieusement le rêve fou de rejoindre un équipage, en direction des îles du Pacifique Sud. Afin de gagner de l’expérience en navigation, nous contactons des hôtes de wwoofing susceptibles de nous apprendre quelques ficelles (et autres nœuds marins) avant d’aller placarder les marinas de petites annonces. C’est ainsi que nous rencontrons plusieurs hôtes près de Whangarei dans le Northland , région pourvue d’une multitude de baies et de criques propices aux activités nautiques.

Tout d’abord, nous faisons la connaissance de Suzanne et Laurie qui nous accueillent pendant une dizaine de jours sur leur corps de ferme. Ils sont éleveurs et produisent aussi une grande partie des légumes et fruits frais dont nous nous régalons chaque jour avec leurs repas faits maison. Nous sommes impressionnés par toutes leurs conserves de fruits, dont celles des délicieuses pêches sanguines Blackboy ! Logés dans notre propre cottage avec salle de bain et mini cuisine, nous sommes bénis par des hôtes aux petits soins avec leurs wwoofeurs. Notre travail consiste essentiellement à effectuer des travaux de maintenance sur leur propriété avec la tonte et la taille des arbres. Grâce à Laurie, nous prenons connaissance d’une relâche de kiwi qui a lieu non loin de chez eux, un événement qui fera naître une belle expérience d’écovolontariat (à retrouver dans notre livre !).

Amateurs de voile et plus particulièrement de racing, Suzanne et Laurie nous emmènent tester l’expérience à bord de leur monocoque taillé pour la course. Ils nous expliquent que cette pratique est bien différente de la navigation de plaisance et nous passons une journée entière sur l’eau à s’imprégner du vocabulaire technique et découvrir les manœuvres. Lorsque le bateau s’incline parfois jusqu’à 40° au-dessus de l’eau, ça a son petit effet pour les novices que nous sommes et il nous faut un petit moment pour trouver nos repères ! Rassurants et confiants, nos hôtes nous ont énormément appris lors de cette virée riche en sensations.

Curieux de découvrir un autre type de voilier, nous changeons de wwoofing et partons à la rencontre de Lief, une belge installée en Nouvelle Zélande depuis de nombreuses années. Elle nous raconte avoir parcouru le monde en voilier avec son mari dans les années 70 et longtemps continué d’entretenir leur bateau avec amour. Aujourd’hui, elle ne navigue plus beaucoup et souhaite le vendre. Nous l’aidons à nettoyer, poncer et repeindre le pont, tout en s’imprégnant de l’ambiance de la petite marina. Bien que nous ne partirons pas en mer ensemble, cette expérience nous donnera l’occasion de faire une autre rencontre exceptionnelle avec une biologiste marine, une histoire que nous racontons également dans notre livre !

Pendant 2 semaines, nous partageons la vie de Lief, sur sa propriété magnifique située au sommet de hautes collines faisant face à l’océan. Notre logement est encore digne d’un hébergement de luxe avec notre propre mini maison indépendante en bois, dotée de baies vitrées qui offrent une vue à couper le souffle sur le lever de soleil et les îles Poor Knights. Chez Lief, les journées commencent généralement par un plouf dans l’océan pour bien démarrer, suivi de tâches autour du jardin avec le désherbage et la collecte du crottin de cheval ou des algues sur la plage pour les utiliser en compost au pied des arbres fruitiers. Le reste du temps nous le passons à s’occuper du bateau, cuisiner, discuter, faire du yoga, papouiller le chien Jessie et vivre une vie tranquille.

Le mois suivant, nous rencontrons Yvonne et Tony, un couple à la générosité débordante qui nous adopte rapidement comme des membres de leur famille. Ils nous racontent avec fierté comment ils ont construit leur maison de leurs mains et aménagé leur terrain, à l’origine vierge, aujourd’hui recouvert de bois magnifiques, d’un étang, d’un potager et d’un verger, dont une rangée de 5 immenses avocatiers ! Yvonne et Tony ont la main verte et gèrent une pépinière où nous les aidons avec la mise en pot des jeunes plants, la taille des arbres et la création de leur catalogue en ligne. Nous tissons des liens très forts avec ces hôtes en or et la vie avec eux n’est pas de tout repos. Nous passons à côté de la catastrophe le jour où Yvonne se renverse avec le quad dans le fossé, mais heureusement plus de peur que de mal. Nous accrochons bien également avec leur fils de notre âge, Jeremy et sa compagne Juliana, originaire de Colombie. Ils sont parents d’une petite Penelope, 4 ans, qui parle aussi bien anglais qu’espagnol, et attendent un deuxième bébé. Ils nous invitent à toutes leurs soirées, jeux, apéros et activités si bien qu’on a l’impression de se connaître depuis toujours. Juliana nous file quelques coups de main en couture et Claire lui apprend à tisser des paniers. Après 6 mois en Asie, nous reviendrons les voir, rencontrer la petite Lola tout juste née et se faire recouvrir par les câlins de Penelope, qui se souvient de nous ! C’est le bonheur de retrouver des visages familiers lorsqu’on vit si loin de notre famille.

Sur son temps libre, Tony construit un bateau en bois d’une dizaine de mètres, en suivant les plans d’un ami, un chantier impressionnant. Quant à nous, nos après-midis libres nous conduisent à la marina pour chercher des voiliers en quête d’équipage. Nous sommes au mois d’avril et cette saison annonce le départ de nombreux voiliers vers les îles du Pacifique Sud.

Premières nuits sur les flots

Nous rencontrons rapidement plusieurs capitaines avec qui le feeling passe bien dont Paul, navigateur anglais vivant sur son monocoque depuis des années. Il est en partance pour un voyage de 6 mois en commençant par une traversée vers les îles Tonga. Il nous indique que la participation à la caisse de bord est de 12$ NZ par jour et par personne et nous fait visiter son bateau. Nous réalisons que si nous partons avec lui, nous dormirons sur les banquettes de la pièce à vivre avec zéro intimité. Nous ne sommes pas difficiles mais ça risque de devenir compliqué au bout de plusieurs mois. Finalement, Paul décide de refaire le traitement antifouling de sa coque et de repousser son départ.

Grâce à l’annonce que nous avons posté à la marina, nous rencontrons Leo, navigateur espagnol, et décidons de passer une semaine ensemble à bord de son catamaran. D’ordinaire, Leo navigue en compagnie de sa femme, mais elle a préféré rester en Espagne cette fois-ci, raison pour laquelle il cherche des équipiers pour l’aider dans les tâches qu’il ne peut faire seul, notamment hisser la grand-voile, et bien sûr partager les quarts. Il ne demande aucune participation financière et projette de partir en direction des îles Fidji, Vanuatu, Nouvelle Calédonie et Salomon. Un itinéraire qui ne manque pas de nous faire rêver ! Et de nous stresser un peu aussi, il faut l’avouer, car on ne sait pas très bien dans quoi on se lance. Leo sait que nous sommes novices et se dit prêt à nous enseigner, à renfort de ses décennies d’expérience, ce qui nous rassure amplement.

Son catamaran est une véritable maison autonome et tout confort. Nous sommes très excités à l’idée de vivre sur ce bateau qui répond au nom d’Atlantide. Nous participons au nettoyage du navire et à l’inventaire des provisions puis passons à la pratique sur les côtes du Northland. C’est la première fois que nous nous retrouvons sur un voilier au large des côtes et nous découvrons que nos corps ne réagissent pas de la même façon à la houle. Jérémie ressent peu le mal de mer tandis que Claire est barbouillée. Le vent frais aide à minimiser les effets et on se dit que c’est certainement plus agréable de voguer sur ce catamaran plutôt que sur un monocoque si nous étions partis avec Paul.

Nous nous abreuvons de toutes les informations que nous partage Leo à propos du fonctionnement du bateau. Le vent est très faible ce jour là mais nous sortons tout de même les voiles pour nous exercer. Afin de hisser la grand-voile, la première partie se fait manuellement, puis à l’aide de winchs hydrauliques nécessitant simplement d’appuyer sur un bouton. Leo demande à Claire de le faire pendant qu’il observe la voile monter. C’est alors qu’un bruit étrange survient. Leo insiste pour continuer et… PAK ! Nous comprenons qu’un œillet de la voile s’est arraché au premier ris. Leo nous dit que c’est son erreur, il avait oublié de remettre en place certains éléments après avoir bidouillé avec quelques jours plus tôt en compagnie d’un autre capitaine. C’est un véritable puzzle pour nous qui avons encore besoin de nous familiariser avec le vocabulaire complexe et toute la technicité de la pratique. Cependant, Leo a tout ce qu’il faut pour recoudre la voile et le problème est vite réglé. Nous apprenons très vite qu’il faut connaître son bateau par cœur et être capable de réparer un maximum de choses soi-même avant de s’embarquer pour de grands voyages.

À Puriri Bay , nous passons notre toute première nuit à l’ancre, pile en face de là où nous avions dormi la première fois à bord de notre minivan aménagé un an plus tôt. Le réveil est magique et calme au son des cormorans et du clapotis de l’eau. Nous passons la journée à remonter vers le nord, avec l’aide du vent cette fois et arrivons à Opua en fin de journée. De nombreux voiliers s’entassent ici dans l’attente d’une fenêtre météo favorable pour quitter le pays.

Nous discutons beaucoup avec Leo et il nous confesse qu’il ne sait pas où donner de la tête quant à la suite de l’aventure. Pour lui, le fait de s’être focalisé sur notre enseignement est la raison pour laquelle il n’a pas été assez vigilant lors de l’incident avec la grand-voile. De notre côté, nous sommes conscients que notre expérience en navigation est encore trop limitée pour le type de traversée envisagée et qu’il faudrait qu’une personne supplémentaire nous accompagne, sauf que les départs sont imminents en cette saison et il est trop tard pour trouver quelqu’un ici. D’un commun accord, nous décidons de ne pas poursuivre le voyage.

Leo nous héberge gentiment sur Atlantide jusqu’à ce que nous trouvions un nouveau plan. On a le sentiment qu’une belle aventure nous passe sous le nez mais nous ne regrettons pas cette décision, surtout avec le recul, connaissant les opportunités que nous saisirons par la suite. Nous décidons de nous envoler pour l’ Indonésie . Quant à Leo, cette expérience l’aura fait cogiter au point de remettre en question ses intentions et son voyage, pour cette saison du moins.

Finalement, notre projet de quitter le pays en voilier n’aboutira pas mais nous sommes heureux d’avoir fait toutes ces rencontres à travers le réseau du wwoofing ainsi que nos premiers pas dans l’univers de la navigation. Cela nous a permis de nous familiariser encore un peu plus avec ce mode de vie si atypique. Et puis tout vient à point à qui sait attendre, nous vivrons une belle expérience en voilier deux ans plus tard, au cœur du Triangle de Corail, grâce au réseau HelpX, un récit à découvrir dans le carnet d’aventures de notre livre Wwoofing et voyages alternatifs .

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Lila, 19 ans, raconte son Woofing en France : «Je faisais de la méditation chaque matin»

Par Lila Fadel

Publié le 04/04/2024 à 4:52 PM , mis à jour le 04/04/2024 à 4:52 PM

Fabriquer du fromage de chèvre en Corse, ramasser des oranges en Espagne, apprendre à récolter du miel au Canada... Créé en Angleterre en 1970, le woofing est présent dans 130 pays via la fédération internationale WWOOF fondée en 2012. Une plateforme qui réunit aujourd’hui environ 100 000 woofers et 12 000 hôtes. Le concept est simple, il propose de mettre en relation des fermiers écologiques et des gens qui veulent découvrir leur manière de vivre. Le «woofeur» travaille en moyenne six heures par jour en échange du gîte et du couvert. Une excellente manière de découvrir un pays ou une région sans se ruiner, voire d’apprendre une langue étrangère. L’échange est sécurisé grâce à la plateforme qui permet de laisser des avis et de s’écrire, s’envoyer des photos, avant le départ. L’inscription est payante (environ 25 euros). Lila, 19 ans, est ainsi partie trois semaines dans une ferme près de Poitiers. Elle nous raconte son expérience pour «découvrir une autre manière de vivre, de construire son monde avec la nature et de vivre un rythme radicalement opposé à celui que je connaissais en ville».

Ce que j’ai aimé : « Mes hôtes étaient très bienveillants et très à l’écoute»

«J’ai été accueillie par un couple Hollandais, Hans et Maria. Leur gagne-pain était l’installation de « poêles de masse », un chauffage à inertie économe en énergie. Le reste du temps, ils s’occupaient de leur jardin potager, et bricolaient. Leur objectif est de vivre au maximum en autonomie. Hans étant charpentier et Maria peintre, ils ont tous les deux construit leur maison. Chez eux, j'ai aimé apprendre à planter un arbre, m'occuper des poules, travailler la terre. Je sais maintenant par exemple que lorsqu’on coupe du bois, on ne l’utilisera que deux ans après, quand il sera bien sec. Ils m'ont expliqué toutes les constructions faites chez eux (cabane, roulotte, potager, panneaux solaires, récupérateur d'eau etc.)».

Ce qui m'a surprise : « Le temps passe lentement»

«J'ai été étonnée de voir à quel point le temps pouvait passer plus lentement qu'à Paris. Là-bas, c'était facile d'arrêter le temps, il n'y avait rien ni personne, que les plantes pour nous montrer qu'il faut regarder le soleil pour grandir ! Les constructions se font petit à petit, et au rythme de chacun, avec une pause-café et pain complet à 15h. Dans la ville, nous sommes toujours sollicités, c'est elle qui nous impose de nous arrêter au feu rouge ou de nous dépêcher pour le métro, d'arriver à l'heure au boulot et de rencontrer ses amis avec un retard de 15 minutes de politesse.

J’ai été étonnée aussi par leur spiritualité. Le matin, nous faisions de la méditation accompagnée d'une salutation au soleil, qui durait environ 25 minutes en tout. Cette routine matinale permettait de prendre notre temps et de bien s'étirer avant la journée. Ensuite, cela m'a paru naturel de m'occuper du jardin, et pourtant il fallait tout de même beaucoup d'énergie et d'envie, car le travail est physique et je n'y étais pas habituée. Enfin, j'ai pu observer l'attention que ce couple avait pour les choses autour d'eux : ne pas trop utiliser l'eau chaude ou avoir des toilettes sèches pour le compost. C'était dans leurs habitudes quotidiennes de faire attention, pour ne pas vivre une vie d’excès, mais de simplicité».

Ce que je n'ai pas aimé : « C'est trop calme !»

«J'ai dû me rendre compte qu'au-delà de l'expérience, ce n'est pas une vie qui me convenait. C'est difficile de changer de rythme à ce point, et de vivre autant dans le calme. Je n'ai pas été habituée aux mêmes types de plaisirs. Pour eux, ce qui les rendait vivants c'était la nature, l'écoute de soi, les animaux et les énergies. Moi, ce qui m'anime, c'est la foule, le rire, la danse et la rue bruyante !»

Ce que je fais maintenant « Je suis contente de revenir en ville ! »

«J’ai pu vivre pleinement cette expérience que j’ai trouvée très enrichissante. Étant singulière pour chacun, elle regorge de possibilités réjouissantes pour tous ceux qui voudraient la vivre. Toutefois, j’ai été très heureuse de revenir. J’ai d’autant mieux apprécié les richesses offertes par la ville : la culture, les rencontres, l'architecture et même les klaxons ! »

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Worldwide Opportunities on Organic Farms (WWOOF) est un mouvement mondial qui met en relation des bénévoles avec des fermes bio et paysannes. Le but est d’encourager les échanges culturels et l’éducation à la terre, et de construire une communauté mondiale sensible aux pratiques agricoles durables.

WWOOF, fondé en 1971, est l’un des premiers programmes d’échange éducatif et culturel au monde. Aujourd'hui, WWOOF est présent dans plus de 132 pays à travers le monde (et ce chiffre ne cesse de croître).

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Andrea Pays-Bas

I don't even know how to start (One of my favorite experiences in life) Since I started looking for farms in Holland, this was one of the ones that caught my attention the most. From the first moment I wrote to Joanne about my interest in the farm, I had a quick response from her and the process flowed very well. I really enjoyed learning about dairy and cheese with Marcel/Alijanna, they are great teachers and great leaders. Every day volunteers of different ages arrive to help make cheeses and dairy products, definitely sharing every day with them, learning from each one and getting to know them was something great. The farm is located in a beautiful place, full of trees, incredible sunsets, birds and lots of living nature. Many times after work, I would go for a walk, relax, spend time with myself, which I really enjoyed and I learned a lot of things. I had never been so close to the calves and from the first moment I met Annie, I fell in love. It was a gift to be able to visit her daily, to see how she was getting bigger every day. Every day we all had dinner together at 7:30, many times I cooked with the other volunteers and it was great, being able to share recipes, techniques and, after a great day of work, a great dinner, is priceless. Meeting Martin and Rianne (a boy who is doing his internship and Rianne a wwoofer) was incredible, talking after a long day, learning from each of them, it was something very cool, Thank you Joanne, Johannes,Luuk and many more!

Noele Allemagne

I had the incredible opportunity to spend four enriching days at Marjolin's house and farm alongside her family. During my stay, I had the opportunity to engage in various agricultural activities such as wildlife observation, forestry work, vegetable and flower planting, chicken raising, pruning, weeding, and composting. Additionally, I learned about sustainable architecture, living practices, and the region they live itself. Marjolin and her family welcomed me warmly, treating me as one of their own and fostering an environment of openness. We engaged in meaningful conversations on a range of topics and cooking together, providing an cultural exchange experience. I enjoyed so much the Dutch cheese, the Sambal sauce, and the eggplant recipe :) I left with a promise to return in the summer to check on the progress of the onions I planted!!! Thank you again Marjolijn :)

Sasha France

I spent 3 incredible weeks with Karen and Kley. The way you are received there is probably one of the best in the world of woofing. Everything was perfect, Kley and Karen are excellent cooks, we had our own separate appartment which lacked nothing, the work is very interesting, structured and very often supervised by Kley. You can see the evolution of the farm every day which is incredible and I can't wait to see it once it's finished. I can only recommend you to make a stay at the Red Lock Farm you won't regret it.

RYOGA Japon

We had a very pleasant time at Hop en Grut for two weeks. Three lovely meals and working in the field was a very valuable experience for us. In two weeks we did various things related to the care of fruit trees, vegetables and sheep. We learned a lot about Dutch agriculture, its history, and its activities that consider the global environment. We would certainly recommend staying. Thank you, Arthur!

Rachel Pays-Bas

Disclaimer, I had an amazing time with Barbara and Jan! I will try to "stick to the facts" :) My partner (Nic) and I have a shared WWOOF-ing account. Barbara was very accommodating to allow Nic to join for the first two days of my 1-week stay. We live locally, so I'm not sure if this same accommodation would be offered to others. Barbara kindly picked us up from the train station in Groningen, as she was already passing through on business. Again, I'm not sure if this is possible for all WWOOFers, but it doesn't hurt to ask. The bus between Groningen and Lauwersaag is infrequent and a fairly long journey. On the weekend, I worked with Barbara in their restaurant, serving the front of house - an amazing opportunity to practice Dutch language skills. Barbara is a wonderful cook, and made authentic Dutch dinners for us most nights. We had the chance to go to the oyster beds, on the most beautiful morning. It's not always so nice in the North, so be prepared for rain and wind. The other days, I helped their staff prepare oysters and fish for the market, and processed food for the restaurant. I enjoyed the freedom to decide tasks for myself. It's clear Barbara and Jan need help with their many projects. In winter, there is less active fishing/oystering, but lots of "prep" work and work to be done in the restaurant. I was happy to do this, but if you want to fish, go in summer! knuffels sturen! Rachel + Nic

Louis Canada

J'ai passé un mois en compagnie de Jan et Barbara, ainsi que leurs employés, et ce fut une réelle immersion dans leur vie de pêcheur. Il est vrai que c'est du travail exigeant mais ça ne peut faire de mal à personne! Le travail demandé était très varié et j'ai appris beaucoup en travaillant à leur côté. J'ai entre autre donné un coup de main pour des rénovations et j'ai aidé à la cuisine quand le resto était ouvert. J'ai particulièrement aimé cueillir des huîtres, les process et les ouvrir au marché public et je garde un bon souvenir des bancs d'huîtres et des oiseaux qui tournent autour. Merci pour tout et au plaisir, Louis Burnotte

Elodie Belgique

Super fijne tijd gehad bij Wietse, Laura en hun twee kleine kids. We mochten direct volwaardig meedraaien in de boerderij. We hebben van alles mogen doen, voederen, lammetjes verzorgen, stallen bouwen… Ook de accommodatie was erg verzorgd. Ter Schelling op zich is al een mooie plek, maar het aangename en leerrijke verblijf heeft het extra speciaal gemaakt. Het kriebelt al om terug te gaan!

Murphy Australie

To recommend others to stay with Bouwie is an understatement of my experience at the forest farm. I was welcomed with kindness and hospitality that instantly made me feel at home in this beautiful cabin and community. Bouwie himself is a wealth of knowledge who is always open to teach you about his way of life, one connected to nature and permaculture farming. We spent the days working on the garden and home, while also offering help to Bouwie’s wonderful neighbours. I implore all Wwoofers to stay here if you hope to have an experience worth writing home about. I myself have already organised to return to this amazing place and people. Don’t miss out.

IORDANIS Grèce

I had a wonderful month living with the host family from 14/11 to 13/12. Ank, the host, was polite and always answered my questions. She helped with transportation, crucial in the area. Cycling enthusiasts won't face any issues. The volunteer group was friendly, making me feel like part of the family quickly. The weather was fine, and the flexible schedule allowed me to enjoy my coffee and work at my own pace. My hosts were kind and respectful, never pressuring me or criticizing my work. I had the freedom to explore nearby cities and join community gatherings. I noticed a positive change in my body, losing some weight, which was important to me. The volunteer program ended at 17:00, providing a balanced work-life structure. I worked on the farm with vegetables, cows, chickens, and enjoyed the overall enriching experience.

Anoushka Pays-Bas

I truly had a great experience at Hansketien. Monique and Liesbeth respect and love their animals dearly (cats, dog, horses, and goats of course). If you enjoy being outside and caring for animals, this is the place for you. I have so much respect for the work farmers do for society. Monique and Liesbeth are hardworking and badass women. I learned a lot, about farm work and what it takes to care for animals. Good meals, good conversations, and cute cats!

Anna Canada

I loved my experience at Hansketien. Liesbeth and Monique were very nice and kind with me, i felt welcome, and we had nice conversations. They are hard working and it is inspiring. Also, good meals, nice room, and friendly dog and cats. I really enjoyed spending time there, and would recommend it!

Riley États-Unis

Bouwie is an incredibly kind man and I am very happy I know him and his community. They were all so welcoming and excited to meet me and I won’t forget them and the creative spaces they live in.

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Accueil » Préparer son voyage » Vacances en Grèce » Le WWOOFING en Grèce : voyagez utile, pas cher et écoresponsable !

Le WWOOFING en Grèce : voyagez utile, pas cher et écoresponsable !

Le farniente sur la plage, ce n’est pas votre truc ? Vous rêvez de contact humain, d’entraide, de découvertes enrichissantes et d’apprentissages inédits ? Partez faire du WWOOFing en Grèce  ! Ce dispositif original vous permet de partager le quotidien d’une ferme écologique et de ses habitants. En échange de quelques heures de travail, vous êtes accueilli gratuitement et initié aux techniques de l’agriculture biologique. Quoi de mieux pour découvrir une autre facette de la Grèce et apprendre en voyageant ?

Qu’est-ce que le WWOOFing ?

Le wwoofing : comment ça marche , pourquoi partir en wwoofing en grèce , comment faire du wwoofing en grèce .

Le WWOOFing est un formidable moyen de faire du tourisme utile, solidaire, écolo et enrichissant. Plus que de vous offrir une opportunité de voyager pas cher, c’est une véritable expérience humaine, au plus près de la nature et du mode de vie des habitants. Mais avant tout, revenons à la définition du WWOOFing ! 

WWOOF est un acronyme pour World-Wide Opportunities on Organic Farms. Il s’agit d’ un réseau mondial de fermes biologiques créé en Angleterre en 1971. Les membres de ce réseau proposent d’ accueillir gratuitement des volontaires sur leur exploitation agricole en échange de quelques heures de travail par jour. En dehors de ce temps de bénévolat, les volontaires peuvent librement visiter la région !

Cette idée géniale est née du constat d’une Londonienne, Sue Coppard : alors que les citadins manquent de connexion avec la nature, les fermes biologiques ne trouvent pas suffisamment de mains-d’œuvre. L’idée de mettre paysans et citadins en relation devient rapidement un mouvement d’écovolontariat qui s’étend dans le monde entier ! 

Pour faire du WWOOFing n’importe où sur la planète, il suffit d’entrer en contact avec une ferme biologique membre du réseau. Volontaires et agriculteurs se mettent d’accord sur la nature et la durée du travail à effectuer en échange du gîte et du couvert. L’hébergement se situe le plus souvent au sein de petites exploitations familiales ou de coopératives. En tant que WWOOFeur, vous partagez donc la vie quotidienne de la ferme tout en vous initiant aux techniques de l’agriculture biologique.

Partir en WWOOFing ou accueillir un WWOOFeur suppose d’être en accord avec la Charte du WWOOF (© FoWO – Federation of WWOOF Organisations – Novembre 2022). Cette charte garantit notamment :

• la fourniture gratuite d’un hébergement décent et de trois repas par jour ; 
• la volonté sincère de la part des volontaires de participer aux travaux agricoles ;
• l’absence de lien de subordination entre l’hôte et le bénévole.

Pour partir en WWOOFing, vous n’avez pas besoin de compétences ou d’expérience particulière dans le domaine agricole. Vous devez simplement exprimer un intérêt sincère pour l’agriculture biologique et la volonté de participer aux travaux agricoles de l’exploitation.

Le mouvement WWOOF existe en Grèce depuis 2011. Il s’est beaucoup développé ces dernières années et compte à présent des membres sur l’ensemble du territoire grec. Le site internet de WWOOF Greece recense près d’une centaine de producteurs écologiques désireux d’accueillir des volontaires. Vous pouvez dès aujourd’hui partir en WWOOFing en Grèce du Nord , dans le Péloponnèse , en Crète ou dans la plupart des îles grecques  !

Les projets proposés en Grèce se développent principalement autour de la permaculture, de l’agriculture biodynamique et de l’écoconstruction . Vous pourrez donc être amené à travailler dans des domaines viticoles écologiques, des oliveraies bio ou des champs d’herbes aromatiques. Si vous aimez les animaux, vous pouvez également trouver des fermes paysannes qui se consacrent à la sauvegarde d’espèces menacées comme les poneys de l’île de Skyros .

De nombreux hôtes proposent par ailleurs des activités de loisirs telles que des ateliers artistiques, des balades dans la nature ou la pratique du yoga. Ils ont généralement à cœur de partager leurs passions et leurs modes de vie avec les WWOOFeurs qu’ils reçoivent.

Le WWOOFing en Grèce est un mode d’ agrotourisme participatif, solidaire, économique et durable . Avec en moyenne 5 h de travail par jour, vous avez largement le temps de découvrir les atouts de la région !

Pour trouver un hôte de WWOOFing en Grèce, rien de plus simple ! Toutes les annonces sont répertoriées sur le site de WWOOF Greece . Pour accéder aux profils des accueillants, vous devrez vous acquitter d’ une adhésion annuelle de 15 € .

Ensuite, vous n’avez plus qu’à faire votre sélection. Vous pouvez faire une recherche par période de voyage , par région ou par type d’exploitation agricole. Vous pouvez également filtrer les hôtes en fonction de leur possibilité d’ accueillir des enfants ou des animaux de compagnie .

Entrez en contact avec l’hôte qui va vous accueillir et échangez sur les conditions de votre séjour à la ferme. Vous allez bientôt pouvoir vivre une expérience mémorable au plus près de la nature et découvrir un autre mode de vie. Et pourquoi pas, qui sait, faire des rencontres inoubliables ! 

N’hésitez pas à partager vos expériences de WWOOFing en Grèce avec nous dans les commentaires !

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Voyageur ou résident ? J'habite en Grèce ou je me prépare à habiter en Grèce Je suis tout simplement un amoureux de la Grèce Je prépare mon voyage en Grèce J'ai une résidence secondaire en Grèce

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During my first experience WWOOFING, I wasn't quite sure what to anticipate, but Andrea and Matt greeted us with such warmth and were enthusiastic about sharing their wisdom. Despite my limited farm and animal experience, they made us feel right at home and entrusted us with their adorable lamb and precious new seeds. Grateful for the wonderful first encounter and the cherished memories. I highly recommend paying them a visit. If you're fortunate enough to be there during a working weekend, you'll meet many other volunteers too!

Emily Royaume-Uni

I had a perfect first wwoofing experience at Lower Shaw. A big bunch of lovely people, varied jobs and an abundance of delicious veggie food. Andrea and Matt are great hosts and you can tell they've been hosting people for many years - everything is very cohesive here (but also informal and relaxed). A wonderful place and I'd love to return some time :)

Pauline Allemagne

I stayed on Gilchristland Farm for almost two weeks and the only thing I can say ist that I really enjoyed staying there and working with the people and the animals. I did a lot of taking care of the sheep’s feet and loved painting the cottage. We build hay feeders and just had a lot of fun. Gilchristland Farm was everything I was hoping for in my Wwoofing Experience. Thank you for welcoming me

Olivia Royaume-Uni

Such a lovely first WWOOFing experience! Got stuck in straight away and learnt a lot in a short time. Very welcoming and friendly family too :) Thank you <3

Marie Royaume-Uni

I can HIGHLY recommend WWOOFing at Trehale!! I was only there for a few days, but felt very welcomed and looked after. The profile is very reflective of what I got up to - bit of animal care, some weeding, helping out with the PYO raspberries/strawberries stuff, & I never felt overworked or micromanaged. On my first night there was a great comedy gig at the barn & I enjoyed some incredible Syrian food. Adam has a lot of cool ideas for the farm and it was great to spend time with him, he is clearly well loved by his community (for good reason!). And obviously the Pembrokeshire area is just stunning - I was kindly me driven around (all) of the coast on my final day so that I was able to see it. Thanks very much to the whole family (and I'm v grateful that I got to taste the delish CLWB burger :p). I'd love to return someday.

Bastian France

Avec Zoé, nous avons passé cinq jours avec Louise, Mario et Joshua. Bury Farm était la dernière étape de notre voyage de deux mois en Angleterre et ce dernier séjour nous a permis de terminer en beauté notre découverte des villes et de la campagne anglaise. Bury Farm est un endroit ravissant, Louise et Mario sont deux personnes très gentilles et d'excellents hôtes qui seront au petits soins pour vous. Les différentes taches changent chaque jour dans le but de veiller à ne pas vous ennuyer et à découvrir de nombreuses choses (tonte de gazon, nettoyage du garage de Joshua, entretien de haie, ramassage de feuille, étalage de compost, coupage de bois...) Mario et Louise sont deux personnes très intéressantes et intéressées, nous avons pu avoir de longue discussions nous permettant d'apprendre à nous connaitre davantage. Dans ce genre de woofing, il n'y a pas seulement le travail qui est important mais aussi le savoir être, Mario et Louise partage avec nous leur quotidien. Chaque woofing que nous avons pu faire avec Zoé durant ces deux mois nous ont permis de découvrir de nombreuses personnes et de nombreux travaux extérieurs, je pense que passer quelques jours à différents endroits est bien plus intéressant et bien plus enrichissant pour les woofers, les séjours court nous empêche de nous ennuyer ou de faire des taches répétitives. Nous tenons de nouveau à remercier Louise et Mario pour ce séjour :)

Poppy Royaume-Uni

What a week! I feel so grateful to have met Adam and Jo in their self confessed slice of permaculture paradise! The kindness you are met with on arrival, and throughout the time spent at Mud and Wool is like a warm embrace. I felt safe to be myself and simply be in a peaceful and beautiful environment, which helped to calm my mind in a somewhat uncertain time in my own life. We spent alot of time together having meals together and cooking together, but I never felt pressurised and I knew I could ask for time to myself if needed. I was the only woofer here at this time which I personally really liked as it did enable me to spend time with myself too on my day off and the occasional evening. Jobs wise - it was a good mix of manual; laying a drystone wall and less some labour intensive jobs like sowing seeds, harvesting and potting out and Adam showed me how to use the scythe (a fine art). Unfortunatley, the visit was cut short due to a family bereavement, and I walked away with a heavy but warm heart, and feeling if anything, a friendship had blossomed. I feel touched by the warmth and energy both Adam and Jo have for each other, the planet and other people, and feel inspired to nurture these values in my own life. It has been a powerful reminder of how the people you meet, will often be the most healing and profound part of the journey. Thank you for all the laughs, I cannot wait to return :)

Louie Royaume-Uni

I spent a great month here with Chris and Floss!! I loved working in the garden, learning some DIY skills, getting stuck into Chris's book collection, and learning from Chris more about small scale horticulture. Chris was very generous and took me on adventures around South Wales when we weren't in the garden. I had a great time thank you so much!

Paul France

I had a fantastique stay at Lower Creedy with Diane and Brian. They are so nice, open-minded and personable. Il is very easy to talk with them and this is so great. The work is physical but so interesting ! Thanks for everything !

Nancy Royaume-Uni

I had a fantastic 1st wwoofing experience at Sawyers Farm. Everyone was friendly and welcoming and Sara was patient and kind when teaching me about gardening and animal care. Work was 4 hours a day weekdays and included weeding, poo picking, and planting potatoes. It was nice to walk Oscar the dog and explore the beautiful countryside. Everyone does their own thing during the day and comes together for the shared evening meal. This gives you space but also a sense of being part of the community. Thank you Sara and everyone for making me feel part of the Sawyers Farm family.

Lila États-Unis

I had an amazing time at Arwen Sanctuary! Janie is a wonderful host who is very kind, knowledgeable, and well organized. I learned a lot from her about gardening, permaculture, and country life. Working the garden was an incredibly rewarding experience. The garden is beautiful and lovingly cared for. While I was there I worked mostly on mulching and preparing garden beds along with a variety of other tasks. I learned a lot about gardening and even had the chance to attend a talk with Janie about soil health! I am also really grateful to have had the chance to get to know Janie and her wonderful family (her grandkids so sweet!). I will never forget my time there and wish all the best to the whole family, thank you for everything!

Pete États-Unis

I spent four nights at Cwmdu Retreat, and it was unlike anywhere I’d ever been. The house is centuries old, and seems to transport you into some alternate world. The thick stone walls, charmingly uneven floors, and warm glow of the evening hearth all form a cozy, comfy, almost fictional setting — one that feels so remote that the rest of reality may or may not even exist. Nadia fits into the scene perfectly... It’s not hard to imagine her as a wise magical healer out of some fantasy tale, loving and passionate and slightly eccentric, mixing together her powerful potions and brews, surrounded by tables crowded with spell-books and rare herbs and mystical plants and other fascinating items. It was cold and rainy during my stay, so instead of doing outdoor labor, I used my design skills to spruce up her website a bit. Just like a fantasy character, she seemed thrilled and awed by my tech “magic,” which made it great fun to work together. And our rambling and random after-dinner conversations were also a huge pleasure for me. Looking back, I almost wonder if my time there was actually real, or some kind of warm and fuzzy dream. Either way, I’d love to return someday…

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Woofing in NewZealand- Woofing en Nouvelle-Zélande

• Post author: Eva
• Post published: 10/12/2021
• Post category: Life in New-Zealand - Vie en Nouvelle-Zélande / New Zealand, Van Life - Nouvelle Zélande, Vivre en van / Travel - Voyage
• Post comments: 0 Comments

Lire en Français

Woofing exists in many countries, but I waited until I was at the end of the world to try it out and I loved it! I’m going to use the term Woofing but I’ve never actually used the WWOOF website, it’s just the generic term I use to talk about voluntary help in farms or whatever.

But what exactly is woofing? 

Woofing is voluntary help for all kinds of missions in exchange of food and lodging (originally woofing is specialised in agricultural missions but nowadays you can find woofing to help in a yoga centre, to look after children, to keep company to old people, etc.).

The helpx.com platform 

(the only one I have tested so far)

On HelpX.com the offers are usually 4 to 5 hours of volunteer work per day in exchange for accommodation and 3 meals per day. Sometimes 2 to 3 hours for just the accommodation. Each host details their offer with the type of work required, and the type of compensation. Sometimes the woofers stay in a separate house, sometimes in the host’s house, sometimes there are several woofers at the same time, sometimes only 1 or 1 couple. There are photos and especially comments from previous woofers so it helps to choose. 

As for the helpers, there is also a detailed profile where you can tell what you know how to do, what you would like to learn, the type of missions you are looking for and especially in which region. We also include photos and references from previous hosts.

When you spot an offer that interests you, you just have to contact the hosts by email or phone and ask all the questions you want and define the duration and the starting date of the mission. 

Here people are really easy going. It’s rare to get an answer if you ask for a woofing in 4 months, but from one week to the next or even the day before it’s much more common. Once, we sent a request and they offered us to start the next day. For the duration we usually start with one week and if the collaboration goes well and we are available we stay longer. We stayed everywhere between 1 week and 5 weeks because we wanted to continue the trip but sometimes it was really hard to leave. Some hosts told us that they had woofers who stayed for 9 months! 

Hosts can also contact helpers by looking for those who are currently in their area or planning to go there. We travelled and woofed during the first wave of the pandemic which was quickly contained in New Zealand. There were very few travellers staying in the country and the borders were closed to new arrivals. So there were very few woofers available, which meant that almost all of our woofing requests were accepted and we were invited EVERYWHERE. It’s really hard to choose when all the offers look amazing!!! But you can’t be everywhere so you have to choose 😉

Where to find woofing offers in NZ? 

There are 4 main ways to find woofing offers in NZ: 

• Wwoof.nz specialised in organic farm helpers
• Workaway.info a bit of everything
• Helpx.net a little bit of everything, organic or not farms, families, tourist accommodation, yoga retreats…
• Facebook pages “Wwoofing new zealand”, “Woofing, Helpx & Travel guidance NZ” “NZ backpackers, Work & WWOOFing”, “Wwoof/HelpX/Workaway NZ” and probably more

With Hankyul we found one woofing via facebook and 6 others via the Helpx website, this is the only one we joined as it has all types of volunteering and we wanted to start with that but in the end there is so much choice that we never had to join the other websites. Many of our hosts told us that they were on several platforms in parallel to maximise their chances of finding woofers.

See some photos of our woofings !

The positive points of woofing in NZ in my opinion

• discover the local culture for real, family traditions, culinary, occupational, relationships of kiwi people with each other, with their animals, with nature
• live without expenses, it’s not paid but you are housed and fed, it’s often in the countryside so there are not really many temptations.
• live a totally different life: whether it’s living in a huge villa with a magnificent view of a bay full of dolphins or living in a remote farm in the depths of NZ surrounded by sheep, it’s a change of scenery! 
• Travel for a long time: wwoofing allows you to take your time to discover a place, a region.
• Travelling differently: getting off the beaten track of the basic tourist, from one touristic spot to another, from one hike to the next, from hostel to hostel or from campsite to campsite. This kind of trip is very nice but you can quickly get tired of it. The woofing is always changing and it brings us to remote places we would not have visited without this opportunity!
• meeting locals and not other travellers. A very good way to meet completely different people, culture, age, interests, habits. It is in my opinion one of the best ways to open your mind. 
• discover a profession or a hobby, either because you are interested in it or by chance (I had the chance to be introduced to beekeeping for example). 
• flexibility: often we have the choice to work in the morning or afternoon or to do a full day to have a day off, the hosts often encourage us to go and discover the surroundings and it’s very easy to organise this with them, many lend bikes, cars or kayaks, some even take us for a ride.
• freedom of movement: as there is no exchange of money or contracts, if you don’t like it you can simply leave without any conflict. There is really no pressure because helpers are a bonus, a help but not employees. 
• So easy to find a woofing in NZ, it really takes very little effort and anticipation!
• There is no age to woof, there are 16 year old woofers and 75 year old woofers, some of our guests told us that they often travel by woofing despite their old age! 
• We don’t really need experience even if it’s a plus, we’re also here to learn!
• We now have 7 families in New Zealand, we know we are welcome in their homes for a morning tea, a weekend, a holiday and we can contact them if we need local support. These encounters make us feel at home far far from home.

Negative points

• You really have to like to adapt, you eat what is there and you have the comfort you have. Each host is different, there are incredible houses and others not so great. Kiwis don’t eat much and never cook at lunchtime (except for some exceptions), they don’t have the same relationship to meals as the French so it can be surprising 😉
• It’s quite common for hosts to give woofers some boring jobs, the most common one here in NZ being weeding… they like their gardens and driveways very clean without any little moss or weeds. So you often think you’re going to learn a lot about their job or activity but sometimes you spend 4 hours weeding…
• It’s not a job so it’s not paid. It may seem like a waste of time compared to picking kiwi fruit for 2 months and filling your bank account, but in reality it’s not comparable and woofing enriches your mind! 
• There may be woofings that require a commitment that is a bit excessive in relation to the compensation. You have to know how to set limits and define the rules from the start (how many hours per day, for how many meals / what kind of accommodation, are there any days off? But in reality it’s so chill in general, personally I never felt cheated, only one woofing asked for a bit more help (as we were doing the markets and it usually lasted more than 4 hours) but in exchange they cooked delicious things and we had home made cakes at coffee breaks etc. plus we had a separate independent accommodation and private beach 5min walk away… so they rewarded us as best as possible for the extra work.

Just a quick note to say that I wrote the positive part in 5 minutes but I really had to rack my brains to find the negative points. After having done 7 woofings I would say that my experience was 95% positive, and the negative 5% are really small details.

I won’t go into more detail on the subject, don’t hesitate to ask questions in the comments ! I really wish you will try woofing once in your life because I really found this experience extremely enriching! I hope to have the opportunity to do it again and in other countries.

Read in English

Le woofing ça existe dans pleins de pays, et en France notamment, mais j’ai attendu d’être au bout du monde pour tester et j’ai adoré ! Je vais utiliser le terme Woofing mais en vrai je n’ai jamais utilisé le site WWOOF, c’est juste le terme générique que j’utilise pour parler d’aide volontaire dans des fermes ou autre.

Mais c’est quoi le woofing exactement ? 

Le woofing c’est de l’aide volontaire pour des missions de tout type en échange du gîte et couvert (originellement le woofing est spécialisé dans les missions de type agricoles mais aujourd’hui on peut trouver des woofing pour aider dans un centre de yoga, garder des enfants, tenir compagnie à des personnes âgées, etc.)

La plateforme helpx.com 

(la seule que j’ai testé jusqu’à présent)

Sur HelpX.com les offres proposent en général 4 à 5h de travail bénévole par jour en échange du gîte et 3 repas par jour. Parfois 2 à 3h pour seulement le gîte. Chaque hôte détaille son offre avec le type de travail demandé, et le type de contrepartie. Parfois les woofers sont hébergés dans une maison séparée, parfois dans la maison de l’hôte, parfois il y a plusieurs woofers en même temps, parfois seulement 1 ou 1 couple. Il y a des photos et surtout les commentaires des précédents woofers donc ça aide pour choisir. 

Du côté des “helpers”, on a aussi un profil détaillé ou on dit ce qu’on sait faire, ce qu’on aimerait apprendre, le type de missions qu’on recherche et surtout dans quelle région. Avec aussi des photos et références des hôtes précédents.

Quand on repère une offre qui nous intéresse, il suffit de contacter les hôtes par email ou téléphone et de poser toutes les questions que l’on souhaite et définir la durée et la date de début de la mission. 

Ici les gens sont vraiment vraiment easy going. Pas besoin de s’y prendre en avance, tout se fait toujours à la dernière minute, c’est rare d’avoir une réponse si on demande un woofing dans 4 mois, par contre d’une semaine sur l’autre ou même la veille c’est beaucoup plus courant. On a déjà trouvé des woofing où ils nous ont proposé de commencer le lendemain. Pour la durée on commence en général par une semaine et si la collaboration se passe bien et qu’on est dispo on reste plus. Nous sommes restés partout entre 1 semaine et 5 semaines car nous souhaitions continuer le voyage mais parfois c’était vraiment très dur de partir. Certains hôtes nous ont raconté qu’ils ont eu des woofers qui sont restés 9 mois ! comme quoi c’est dangereux ! 

Les hôtes peuvent aussi contacter les helpers en recherchant ceux qui sont actuellement dans leur région ou comptent s’y rendre. Nous avons voyagé et woofé pendant la première vague de la pandémie qui avait été rapidement maîtrisée en Nouvelle-Zélande. Il y avait très peu de voyageurs restant dans le pays et, les frontières étant fermées, pas de nouveaux arrivants. Donc très peu de woofers disponibles, ce qui fait que presque toutes nos demandes de woofing étaient acceptées mais aussi on était invité PARTOUT. C’est vraiment dur d’avoir à choisir quand toutes les offres ont l’air incroyables !!! mais on ne peut pas être partout alors il faut choisir ,)

Ou trouver des offres de woofing en NZ ? 

Déjà il y a 4 moyens principaux de trouver des offres de woofing en NZ : 

• Wwoof.nz plutot spécialisé dans les offres d’aides en fermes organiques
• Workaway.info un peu de tout
• Helpx.net un peu de tout, fermes organiques ou non, familles, hébergements touristiques, retraites yoga…
• pages Facebook “Wwoofing new zealand”, “Woofing, Helpx & Travel guidance NZ” “NZ backpackers, Work & WWOOFing”, “Wwoof/HelpX/Workaway NZ” et sûrement d’autres!

Avec Hankyul nous avons trouvé un woofing via facebook et 6 autres via le site Helpx, c’est le seul auquel nous avons adhéré car il regroupe des offres de tout type de volontariats et on a voulu commencer par ça mais finalement il y a tellement de choix qu’on a jamais eu à adhérer aux autres sites. Beaucoup de nos hôtes nous ont dit qu’ils étaient sur plusieurs plateformes en parallèle pour maximiser leurs chances de trouver des woofers.

Voir quelques photos de nos woofings!

Les points positifs du woofing en NZ selon moi : 

• découvrir la culture locale pour de vrai, traditions familiales, culinaires, occupationnelles, rapports des kiwi entre eux, avec leurs animaux, avec la nature
• vivre sans dépense, ce n’est pas payé mais on est logé et nourri, c’est souvent à la campagne donc pas vraiment beaucoup de tentations.
• vivre une vie totalement différente : que ce soit vivre dans une villa immense avec vue magnifique sur une baie pleine de dauphins ou vivre dans une ferme reculée au fin fond du fond de la NZ entouré de moutons, ça dépayse ! 
• voyager longtemps : le wwoofing permet vraiment de prendre son temps pour découvrir un endroit, une région.
• Voyager différemment : sortir du chemin tout tracé du touriste de base, d’un point touristique à un autre, d’une rando à la suivante, d’hostel en hoslel ou de camping en camping. Ce genre de voyage est très chouette mais on peut vite s’en lasser. Le woofing ça change tout le temps et ça nous amène dans des coins perdus qu’on aurait pas forcément visité sans cette opportunité!
• rencontrer des locaux et pas d’autres voyageurs. Un très bon moyen de rencontrer des gens complètement différents, culture, age, centre d’intérêts, habitudes. C’est selon moi une des meilleures façons de s’ouvrir l’esprit. 
• découvrir un métier, ou un hobby, soit parce-qu’on s’y intéresse, soit tout à fait par hasard (J’ai eu la chance d’être initié à l’apiculture par exemple).
• flexibilité : souvent on a le choix de travailler plutôt matin ou aprem ou alors de faire une journée complète pour avoir un jour off, les hôtes nous incitent souvent à aller découvrir les environs et c’est très facile de s’organiser avec eux pour ça, beaucoup prêtent vélos, voiture ou kayaks, certains nous emmènent carrément en ballade.
• liberté de mouvements : comme il n’y a pas d’échange d’argents ou de contrats, si on n’aime pas on peut tout simplement partir sans conflits. Il n’y a vraiment aucune pression car les helpers sont un bonus, une aide mais pas des employés. 
• Tellement facile de trouver un woofing en NZ ça demande vraiment très peu d’efforts et d’anticipation !
• il n’y a pas d’âge pour woofer, il y a des woofers de 16 ans et d’autres de 75 ans, d’ailleurs certains de nos hôtes nous ont racontés qu’ils voyagent souvent en faisant des woofings malgré leur grand âge! 
• pas vraiment besoin d’expériences même si c’est un plus, on est aussi là pour apprendre !
• On a maintenant 7 familles en Nouvelle-Zélande, on sait qu’on est les bienvenus chez eux pour un morning tea, un week-end, des vacances et on peut les contacter si on a besoin d’un soutien local. Ces rencontres nous font nous sentir at home far far from home.

Les points négatifs

• il faut vraiment aimer s’adapter, on mange ce qu’il y a et on a le confort qu’on a. Chaque hôte est différent, il y a des maisons incroyables et d’autres pas terribles. Les kiwi mangent peu et ne cuisinent jamais le midi  (sauf exceptions), ils n’ont pas du tout le même rapport aux repas que les français donc ça peut surprendre 😉
• c’est assez fréquent que les hôtes réservent aux woofers des missions un peu pourries, la plus commune ici en NZ étant le désherbage… ils aiment leurs jardins et leurs driveway bien propres sans aucune petite mousse ou mauvaise herbes. Donc on se dit souvent qu’on va apprendre pleins de choses sur leur métier ou activité mais ca arrive qu’on passe 4h à désherber …
• Ce n’est pas un travail donc pas payé. Ca peut paraître nul comparé à aller ramasser des kiwi pendant 2mois et se remplir le compte en banque, mais en vrai c’est pas comparable et le woofing enrichi surtout vos esprits ! 
• il peut y avoir des woodings qui demandent un engagement un peu démesuré par rapport à la contrepartie. Il faut savoir poser ses limites et bien définir les règles dès le départ (combien d’heures par jour, pour combien de repas / quel type de logement, y a t’il des jours off ? ce genre de choses juste pour être sur la même longueur d’onde) Mais en vrai c’est tellement chill en général, personnellement je ne me suis jamais sentie lésée, seulement un woofing nous demandait un peu plus d’aide (car on faisait les marchés et ça durait en général plus que 4h) mais en échange ils cuisinaient des choses délicieuses et on avait des gâteaux fait maison aux pauses cafés etc. de plus nous avions un logement séparé indépendant et plage privée à 5min à pied… donc ils nous récompensaient au mieux pour le surplus de travail.

Juste un petit mot pour vous dire que j’ai écrit la partie points positifs en 5 minutes, par contre j’ai vraiment dû me creuser la tête pour trouver des points négatifs. Après avoir fait 7 woofings je dirais que mon expérience a été à 95% positive, et les 5% négatifs sont vraiment des petits détails.

Je ne m’étend pas plus sur le sujet, n’hésitez pas à poser des questions en commentaires ! Je vous souhaite vraiment de tester une fois dans votre vie le woofing car j’ai vraiment trouvé cette expérience extrêmement enrichissante! J’espère avoir l’occasion d’en refaire et de tester dans d’autres pays.

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Kiss Sell Music Catalog, Publishing, and Imagery to Company Behind ABBA Voyage

Kiss are the latest artists to sell off their music catalog - and, in this case, their well-known onstage personas and makeup - for big money.

The band - which closed out its (alleged) farewell tour in December 2023 - announced they have sold the rights to their music and imagery to Pophouse, the Swedish company that created the ABBA Voyage hologram show and is working on a similar project involving Kiss. 

While the price wasn't revealed in a joint press release, Fortune reports that Kiss raked in upwards of $300 million in the sale. A rep for the band did not immediately respond to Rolling Stone ‘s request for comment.

The deal involves all of Kiss' master recordings and publishing rights, and in a unique addition to other catalog acquisitions, also includes the band's characters - Gene Simmons' God of Thunder, Paul Stanley's Star Child - and their distinct makeup.

Simmons told People Thursday that the sale felt like a “natural thing” though the band wasn’t “looking for it” at first. However, “If you take a look at Mother Nature, you either evolve or you become extinct,” he said.

“Life happens while you’re busy making important plans,” he added. “We were planning our respectful, proud walking off into the sunset, because we’ve been touring, we had been touring for half a century.”

During the band's final End of the Road Tour show at Madison Square Garden , Kiss revealed that the band would live on as digital avatars in the Pophouse-produced hologram shows beginning in 2027; Pophouse's ABBA Voyage show, currently presented in London, makes $1 million a week, Fortune reported.

“As part of the partnership, Pophouse will create digital versions of KISS that will allow the band and their unique personas to live forever,” Pophouse and Kiss said in their press release. “Through a magical combination of cutting-edge technology and unrivaled creativity, Pophouse will bring the full, authentic KISS experience to both existing and new fans for years to come. The avatar show is planned to launch in 2027.”

"We have always been breaking new ground in popular culture, and this partnership will ensure that we continue to do so for years to come,” Simmons said of the catalog dead in a statement. “Because what Pophouse is doing, is breaking rules. We already have several plans in development, where the avatar show is one, a biopic another and a KISS themed experience a third. The future could not be more exciting!"

Stanley added, “Our journey with Pophouse is fueled by the desire to eternally resonate across diverse facets of global culture. As we embark on this venture, we aim to weave our legacy into the tapestry of different worlds, ensuring that the KISS experience continues to captivate both our devoted fans and those yet to discover the thrill. This partnership is not just a chapter; it's an eternal symphony of rock ‘n' roll immortality.”

Pophouse CEO Per Sundin  said in December that the company is still in the process of figuring out how best to use the Industrial Light and Magic-created avatars, which are enormous, fire-breathing versions of the Kiss members in full regalia. "Is it a Kiss concert in the future? Is it a rock opera? Is it a musical? A story, an adventure? These four individuals already have superpowers. We want to be as open as possible."

Outside of Kiss and ABBA, Pophouse also acquired the rights to Cyndi Lauper's music catalog.

“We’ve all seen boxers and artists who will stay in the ring too long and get knocked out by some amateur,” Simmons said. “You don’t want to do that, you want to go out on top. And we did it the right way, out of respect and love for the fans.”

This story was updated at 8:35 p.m. ET to include comment from Gene Simmons to People.

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